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C’est la phase la plus importante. Votre préparation comprend autant de réflexion que d’action. Il s’agit de couvrir tous les points nécessaires afin d’être vraiment prêt à se lancer en franchise.
Votre bilan personnel : il est essentiellement destiné à questionner votre motivation. Veiller à lui consacrer une réflexion approfondie et sérieuse. Pour un bilan plus professionnel et fiable, faites-vous aider par des organismes d’accompagnement tels que la Chambre de Commerce et d’Industrie, l’APCE…
L’apport personnel : Autrement dit, les finances. Le franchiseur exigera de votre part un apport personnel plus ou moins important (en fonction du domaine et du réseau) qui équivaut, dans tous les cas, au tiers du budget du financement de la franchise. Un conseil : Si vos moyens financiers personnels demeurent insuffisant, n’hésitez pas à contracter un prêt bancaire, ou, le cas échéant, à suggérer au franchiseur d’autres solutions : association, partenariat, parrainage…
Le prévisionnel : Il reprend les besoins de financements, poste par poste (investissement, fonds de roulement). Pour un résultat plus « professionnel », il est vivement conseillé de faire appel aux services d’un spécialiste (expert-comptable).
L’étude du marché : Renseignez-vous sur les réseaux de franchise. Pour les sources d’informations, vous aurez l’embarras du choix : presse spécialisée, site internet relatifs à la franchise, bouche-à-oreille (réputations)… Votre étude de marché dépendra en grande partie du secteur d’activité de votre choix. Justement…
Le secteur d’activité : Focalisez votre sélection sur les secteurs qui se rapprochent le plus de votre propre parcours, ainsi que de vos ambitions.
Votre franchiseur : Vérifiez avant tout des points essentiels tels que le savoir-faire, la réputation (enquêtez auprès des autres franchisés), la qualité de la marque/enseigne…Dans un autre temps, pensez à additionner d’autres critères tels que la localisation géographique ou l’ampleur du réseau.
Le local : Vous serez forcément assisté par votre franchiseur qui vous accompagnera dans toutes les phases de négociation, installation…
Le statut juridique : Si vous n’êtes pas à même de fournir l’apport personnel nécessaire, vous pouvez opter pour un statut juridique de société (SARL, SA, SAS, SNC…).
Il ne vous reste plus qu’à signer votre contrat de franchise (à vérifier de près les mentions obligatoires, les clauses spéciales, et les conditions de validité), avant de vous lancer. L’un des meilleurs avantages du concept de la franchise ? Pour ce lancement, vous serez constamment épaulé par votre franchiseur. De détails les plus « techniques » à l’ouverture, en passant par les différentes négociations (bail, approvisionnement…) préalables, le franchiseur se montrera d’une aide inconditionnelle.
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