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Chargée de Communication et Marketing
Laurence LEMBLE
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Dossier de Presse Petite-Entreprise.net

Revue de presse Petite-Entreprise.net 2016 

Revue de presse Petite-Entreprise.net 2015

Audience du site Petite-Entreprise.net : le constat de l’huissier

Les baromètres

Décembre 2018 : Les patrons d'entreprises gèrent leur trésorerie et trouvent des réponses pour éviter les problèmes !

Avoir l’idée, faire une étude de marché, démarrer le projet, trouver le local, faire un business plan, obtenir des financements …. ou apporter ses propres fonds, c’est le parcours de 65% des patrons interrogés (26% font des emprunts bancaires).Devenir chef d’entreprise implique évidemment, de bien gérer la trésorerie, via les stocks, les achats, les prix… Ces postes sont essentiels pour la bonne marche de l’entreprise. Pour 34% des chefs d’entreprise interrogés, ce sont les points cruciaux à optimiser, dès que la trésorerie montre des signes de faiblesses. Mettre en place des alertes lorsque le niveau de la trésorerie est bas est un moyen de supprimer les difficultés. Ils sont 16% à avoir endiguer les difficultés de trésorerie grâce à leur vigilance.Pourtant et même si la gestion de la trésorerie est indispensable pour les patrons, ils sont nombreux à suivre les entrées et les sorties d’argent en consultant uniquement leurs relevés de compte (36%) quand 34% d’entre eux continuent à suivre leur trésorerie hebdomadairement, grâce à un tableur. Le chef d’entreprise porte les responsabilités de la réussite de ses projets. Cependant et lorsqu’il le faut, 37% d’entre eux, préfèreront ne pas se rémunérer afin que l’entreprise continue à fonctionner normalement. 23% pensent à demander des délais à leurs fournisseurs et des avances à leurs clients.

Mars 2018 : Les entreprises impactées par les entreprises zombies

On appelle entreprises zombies celles que des banques conservent dans leur clientèle bien qu’elles soient non rentables et fortement endettées ou insolvables grâce à des financements aux taux d’intérêt très bas. En aidant ces entreprises zombies à « survivre », on réduit malheureusement la rentabilité des entreprises en meilleure santé. Comment ? Tout simplement car ces entreprises zombies, endettées ou insolvables, peuvent se trouver parmi les clients, les fournisseurs voire même partenaires des entreprises en parfaite santé.
Enfin, autre effet de ce phénomène, il y a moins de financements disponibles pour d’autres entreprises en création ou en développement.

Janvier 2018 : Les dirigeants concernés par le logiciel facturation anti-fraude

Comme souvent, cette nouvelle loi relative à l’utilisation d’un logiciel de facturation anti-fraude va prendre du temps jusqu’à ce qu’elle soit mise en place effectivement par les patrons de TPE. Ils ne sont en effet que 30 % à penser que cette réforme était justifiée voire utile. Malgré tout ils sont plus du double à se sentir concernés par cette nouvelle loi. (59%) Ce qui confirme bien que ce changement est une question qui intéresse de près les dirigeants d’entreprise. La sanction prévue peut être sévère ( 7 500 euros ). Il vaut donc mieux être en conformité sur ce point. Cela dit, les patrons français assujettis à la TVA ne sont pas des mauvais élèves pour autant car ils sont 46% à être équipés d’un logiciel de facturations professionnel. Cet équipement, objet de la disposition légale vise, entre autres objectifs, à réduire le nombre des fraudes à la TVA lorsqu’un professionnel (commerçants, e-commerçants) facture ses produits ou services aux particuliers (comme 73% des répondants)

Décembre 2017 : La retraite : un intérêt certain mais des démarches frileuses

Aucun doute que les dirigeants d’entreprise s’intéressent à leur retraite (82% se sentent concernés). Par contre, ils commencent à s’y pencher sérieusement assez tardivement, entre 45 et 55 ans. En amont de la mise en place des actions concrètes (création du dossier auprès d’organismes spécialisés : CNAV, mutuelles…), ils s’informent uniquement grâce à des moyens plutôt généralistes tels que la presse / magazine, TV ou Radio. Et parce qu’ils sont peu nombreux à faire à un spécialiste pour calculer le montant de leur indemnité à la retraite, de fait, ils ne sont que 47% à savoir qu’il est possible de conserver son niveau de vie existant lorsqu’ils partent en retraite.

Novembre 2017 : Des règlementations et des lois peu connues des patrons d'entreprise

L’Inspection du travail ? Même pas peur ! Une méconnaissance de toutes les règlementations en vigueur pour l’entreprise n’effraie pas plus des 2/3 des patrons interrogés (68%), et la quasi-totalité des chefs d’entreprise interrogés (86%) affirment n’avoir aucune crainte face à une éventuelle visite de l’Inspecteur du travail. Cette absence de crainte s’exprime aussi avec un niveau d’anxiété noté 4.7 sur 10. Et pourtant, pour une majorité (54%), ils souhaitent ou souhaiteraient être tenus informés grâce à une newsletter hebdomadaire, voire mensuelle, qui porterait uniquement sur cette thématique. Malgré ce déficit d’information, les dirigeants appliquent rapidement, (pour 46% d’entre eux) en 1 mois les nouvelles lois / directives / règlements.

Octobre 2017 : La réforme du Code du travail ne fait pas l'unanimité

Le Code du travail a été présenté par le Premier Ministre le 31 août 2017 et le mot d’ordre est la « transformation ». Les patrons sont-ils convaincus ?
Premier constat : indispensable ! En effet, 90% des patrons s’accordent à dire qu’une réforme s’imposait. Un engouement contrasté lorsque l’on relève que 70% se sentent favorisés mais que seuls 53% pensent qu’elle est adaptée à leurs besoins. Et qu’en est-il des embauches et des licenciements ? Même si deux tiers des patrons estiment que ces démarches seront facilitées, la réforme n’aura motivé que 43% d’entre eux à embaucher prochainement. Toutefois, bonne nouvelle pour les salariés : c’est le CDI qui sera favorisé chez 60% des employeurs.

Mai 2017 : Emmanuel Macron "attendu au tournant" par les entrepreneurs

Dans les priorités pour leur activité d’entrepreneur, la baisse des charges arrive en tête (pour 61% des sondés), bien avant la facilité d’entreprendre (33%) ou la protection de leur activité (seulement 6%). La volonté de lutter contre le travail détaché ne concernerait donc surtout que certains secteurs (les artisans du BTP notamment). S’agissant des priorités pour le pays, un entrepreneur sur deux (53% exactement) place l’économie en tête, devant la lutte contre le chômage (17%), la lutte contre le terrorisme (12%) et l’écologie (9%). C’est donc un nouveau modèle économique plus incitatif et moins lourd que demandent les entrepreneurs, bien avant un changement sociétal. Pour mener à bien ces réformes, ces chefs d’entreprise souhaitent de façon claire et nette (70% des sondés) donner une majorité au Parlement au Président Macron.

Avril 2017 : Le "Made in France" a le vent en poupe chez les entrepreneurs

C’est (presque) unanime : 84% des entrepreneurs conseillent aux candidats à l’élection présidentielle de valoriser le « Made in France ». Pour ces dirigeants et créateurs d’entreprise, le « 100% Made in France » est synonyme de plus grande qualité (43% des sondés), de sécurité (25%) et d’une « touche française » (20%) qui nous différencie des autres pays. Selon les dirigeants interrogés, 41% des clients demandent même si le produit ou le service qu’ils achètent est conçu en France. Pour les entrepreneurs, acheter français, c’est privilégier la qualité (37% des sondés) mais aussi défendre les intérêts économiques du pays (24%). Enfin, si le « Made in France » est un bon argument de vente, il l’est encore plus dans certains secteurs : l’alimentaire/restauration (52% pensent que c’est le secteur où le « 100% Made in France » est le plus important), le luxe (20%) ou le textile (7%).

Mars 2017 : Emmanuel Macron en tête chez les entrepreneurs

Suite aux récentes visites des candidats devant le Medef, Petite-Entreprise.net s’est attaché à connaître l’avis de tous les entrepreneurs (indépendants, TPE/PME…) sur l’élection présidentielle. Celui qui répondrait le mieux aux attentes des entrepreneurs est Emmanuel Macron (31%), devant François Fillon (24%), très loin devant les autres candidats. 20% des dirigeants pensent qu’aucun des candidats ne répond à leurs attentes. Sur le fond, 57% des entrepreneurs estiment que l’élection présidentielle peut changer quelque chose dans leur quotidien. Les chefs d’entreprise attendent que le prochain Président agisse en priorité sur la baisse des charges (49% des répondants) et sur la simplification de la réglementation et de l’administratif (25% des répondants).

Février 2017 : 2017, année de tous les possibles pour les TPE-PME

En ce début d’année, les dirigeants de TPE-PME sont plutôt optimistes : 73% d’entre eux pensent que « 2017 sera meilleur que 2016 », considérée comme une année de reprise lente (54% considèrent 2016 comme une année « bonne ou excellente »). Leur voeu le plus cher est de « s’agrandir et développer leur activité » (46%), signe de confiance dans leur activité et d’une volonté de s’y investir personnellement (seulement 5% souhaitent « consacrer plus de temps à leur famille ou leurs amis »). Sur le podium des priorités des dirigeants de TPE-PME pour 2017 : la « recherche de nouveaux clients » arrive en tête (62% des sondés) ; en seconde position, « résoudre les problèmes de trésorerie » (32%) et en 3ème position, « Communiquer » (29% des entrepreneurs).

Janvier 2017 : Bilan 2016 : Pas de croissance nette pour les TPE-PME

Pour cette année 2016, on n’observe pas de croissance nette de l’activité des TPE ni du moral des dirigeants, mais plutôt un phénomène cyclique. Le premier semestre voit tous les indicateurs (investissement, embauche, moral des patrons) en croissance pour culminer en juin. Le second semestre connait en revanche une rupture avec un baisse brutale des indicateurs dès juillet, due sans doute aux périodes de congés. Fin 2016, les indicateurs reviennent à un niveau comparable à ceux du début d’année, fermant ainsi le cycle annuel. Les régions les plus dynamiques notamment en termes d’investissement et d’embauche sont la Bretagne, Rhône-Alpes, l’Aquitaine et l’Ile-de-France.

Décembre 2016 : 22% des entrepreneurs ferment la semaine de Noël

La semaine de Noël n’est pas la même pour tous les entrepreneurs. Si, pour 19% des petites entreprises, la semaine est « plus intense que les autres », elle est « moins intense » pour 28% et 22% des dirigeants annoncent même « fermer leur entreprise pendant la semaine de Noël ».

Que se passe-t-il dans les entreprises dans cette période ? En interne, 37% font « un repas spécial » pour les collaborateurs, tandis qu’en externe, 33% des dirigeants de TPE déclarent offrir des cadeaux à leurs clients. Enfin, l’email est l’outil privilégié pour envoyer ses voeux, 51% des entrepreneurs n’utilisant même que ce moyen pour souhaiter une bonne année à leurs clients et partenaires.

Novembre 2016 : Les réseaux sociaux ancrés dans les habitudes des entrepreneurs

Pour communiquer, les entrepreneurs plebiscitent désormais les réseaux sociaux : 75% d’entre eux « les utilisent le plus pour communiquer »*. En seconde position des préférences vient le site web (45%) puis l’emailing (37%). Une majorité d’entrepreneurs (57%) dispose désormais d’une page Facebook, principalement pour valoriser l’image de l’entreprise (64%) et trouver des clients (22%). Les freins à l’utilisation des réseaux sociaux sont principalement de deux ordres : le temps à y consacrer (53% des entrepreneurs n’ont pas le temps de s’occuper d’une page Facebook) ou la sécurité (27% ne souhaitent pas « exposer » leur entreprise sur Facebook). Quel que soit le moyen utilisé, la quasi-totalité des entrepreneurs (78%) accorde « une grande importance » à la communication.

* En 2013, un chiffre similaire (77%) était annoncé par une étude Viadeo sur 500 chefs d’entreprise de TPE-PME.

Octobre 2016 : La semaine de 47 heures pour les entrepreneurs

Bien que faisant partie intégrante de la vie d’une entreprise, la gestion administrative peut se révéler parfois lourde à gérer par le dirigeant, d’autant plus si celui-ci est seul à s’en occuper. Rédaction de devis, factures, gestion des impayés, déclarations fiscales, etc… autant de tâches et paperasse qui peuvent empêcher le dirigeant de se concentrer sur son activité. Comment les dirigeants de TPE/PME gèrent-ils cet aspect de leur vie ?

L’entrepreneur en 2016 travaille en moyenne 47 heures par semaine et 34% des entrepreneurs vont même au-delà des 50 heures. Les dirigeants ont plusieurs casquettes : s’ils doivent exercer leur métier (artisan, commerçant, prestataire de services…), ils passent aussi un tiers de leur temps (14 heures en moyenne) à devoir s’occuper de l’administratif, des devis, de la facturation ou de la relance des impayés. 47% d’entre eux aimeraient d’ailleurs être aidés dans ces tâches, notamment pour l’administratif que certains délèguent pourtant à l’expert-comptable (36% des sondés). Enfin, s’ils avaient plus de temps, les entrepreneurs le passeraient davantage dans leur famille (49% d’entre eux) avant de se reposer (28%) ou de pratiquer un loisir (23%).

Septembre 2016 : Les salons professionnels intéressent 71% des TPE/PME

Pour les visiter mais aussi pour y exposer, les salons professionnels sont un bon moyen de prospecter ou développer son réseau pour une TPE-PME. Cependant, la distance et le budget sont les deux freins les plus importants.

Les salons professionnels ont de beaux jours devant eux

SA l’heure de la digitalisation et de la relation à distance, les salons professionnels sont-ils toujours aussi fréquentés, notamment par les dirigeants de petites entreprises ? Sans équivoque, les salons attirent la majorité des professionnels (71% y participent au moins une fois par an), notamment en tant que visiteurs (52%), en tant qu’exposants (6%) ou les deux (13%).

Les TPE sont en quête d’informations, de nouveautés et de business

Lorsqu’on visite un salon professionnel, c’est pour y trouver en priorité de l’information et des nouveautés (pour 50% des dirigeants) devant la recherche de partenaires (41%). Côté exposants, le premier objectif est de vendre ou prospecter de nouveaux développer son réseau (24% des répondants) ou travailler sa notoriété ou son image (16%). Enfin, deux éléments importants ressortent de l’enquête : le budget « Salon » est limité, voire inexistant pour 68% des dirigeants, et la majorité d’entre eux (57%) ne

Eté 2016 : L'Euro 2016 de Fooball aura un impact positif sur 15% des petites entreprises

L’Euro de Football 2016 profitera-t-il aux petites entreprises ? Il est encore trop tôt pour le dire. Petite-Entreprise.net a mené l’enquête juste avant et pendant les premiers jours de l’Euro. Résultat : environ 15% des entrepreneurs intègrent l’Euro dans leur activité. Aménagement des horaires des salariés (10% des sondés), communication sur l’évènement (16%), invitations clients (9%), ces entrepreneurs pensent que l’Euro aura un impact positif sur l’entreprise, tandis que 11% pensent qu’il aura un impact négatif.

Juin 2016 : 75% des artisans, commerçants et TPE sont en recherche de financement Baromètre Petite-Entreprise.net

75% des très petites entreprises sont en recherche de financement, principalement pour combler un manque de trésorerie (pour 42% d’entre elle) ou pour investir (47%). Pour cela, les dirigeants puisent dans leurs fonds propres (42%) ou le système bancaire (39%), pour des montant inférieurs à 25000 € (78%). Un signe une nouvelle fois de la fragilité des petites entreprises et d’un accès difficile au système bancaire pour les petits montants investis ou le manque de trésorerie.

Mai 2016 : 30% des TPE sont en défaut de trésorerie Baromètre Petite-Entreprise.net

En avril 2016, 30% des très petites entreprises déclarent faire face à des problèmes de trésorerie récurrents. Si le dirigeant se tourne en priorité vers son banquier, il diversifie aussi son action pour pallier ce problème, particulièrement lié aux petites structures.

Si les chiffres concernant le nombre de défaillances des très petites entreprises sont encourageants (-9% au premier trimestre 2016*), ces dernières restent très fragiles, notamment en raison de leur niveau de trésorerie. Ainsi, 30% avouent devoir faire face à des problèmes réguliers de trésorerie (chiffre également constaté par l’Observatoire du Financement en 2014) et 56% sont actuellement en trésorerie négative. Quant aux montant liés à ces défauts de trésorerie, il peuvent aller jusqu’à plus de 10 000€ pour 24% des dirigeants interrogés.

Dans 68% des cas, le dirigeant suit lui-même l’évolution de sa trésorerie, et ce quotidiennement pour 63% des sondés. Si un problème survient, il s’adresse en priorité à son banquier (38%) avant de se tourner vers ses amis ou à sa famille (10%). Il peut également envisager un découvert bancaire (10%). Le crowdfunding ne s’applique que rarement à ce type de financement (1,5% des sondés l’utilise pour cela).

Avril 2016 : Les TPE peinent encore à embaucher Baromètre Petite-Entreprise.net

En parallèle des discussions sur la future loi Travail, Petite-Entreprise.net s’intéresse à la manière dont les TPE embauchent aujourd’hui. Trouver le salarié qui convient et faire face aux lourdeurs administratives sont les deux plus grandes difficultés auxquelles les dirigeants doivent faire face aujourd’hui. Côté mesures du gouvernement, la prime à l’embauche est la bienvenue pour débloquer certaines situations.

Le CDI reste la règle pour la moitié des dirigeants de TPE

Au regard des manifestations actuelles (étudiants et lycéens), on pourrait croire que le CDI est menacé. Cependant, quand on demande aux artisans et dirigeants de TPE quel contrat ils privilégient aujourd’hui, le CDI arrive en tête pour 48% des sondés, devant le CDD (30%). Pour autant, embaucher reste difficile pour la majorité (73%) des dirigeants. Le premier frein à l’embauche réside dans la difficulté à « trouver la personne qui convient » pour 56% des dirigeants sondés, devant les lourdeurs administratives (pour 32% d’entre eux). Le chemin vers l’embauche n’est donc pas simple, et on comprend que le dirigeant ne passe à l’acte que lorsque les besoins s’en font réellement sentir.

Une année 2016 peu propice à l’embauche dans les TPE

L’embauche dans les TPE ne devrait pas croître beaucoup en 2016, tant les dirigeants manquent de visibilité : seuls 22% indiquent que 2016 sera propice à l’embauche dans les petites entreprises, contre 45% qui pensent l’inverse. La prochaine loi Travail pourrait avoir cependant quelques effets bénéfiques. En particulier, la prime à l’embauche d’un premier salarié est vue comme un bon levier par 43% des dirigeants sondés. Rappelons que cette prime, selon le Ministère du Travail, génère 1000 à 2000 demandes par jour. S’agissant de la flexibilité sur les contrats d’embauche, les annonces du gouvernement n’auraient qu’un effet limité sur les entrepreneurs sondés : seuls 15% pensent que l’augmentation du renouvellement des CDD ou le plafonnement des indemnités de licenciement auront un effet sur l’embauche dans les TPE.

Mars 2016 : L'entrepreneuriat se conjugue très bien au féminin Baromètre Petite-Entreprise.net

Entreprendre est un choix de vie dans lequel beaucoup de femmes s’engoufrent chaque année. Plus dipômées, préférant les services et le commerce, elles gèrent plutôt bien l’équilibre personnel-professionnel mais connaissent des difficultés pour entreprendre différentes des hommes. Décryptage.

Les femmes apportent un nouveau souffle à l’entrepreneuriat

A quelques jours de la « journée de la femme » (le 8 mars 2016), Petite-Entreprise.net s’intéresse à l’entrepreneuriat au féminin. Plus jeunes (40 ans en moyenne contre 44 ans pour les hommes), davantage en phase de création (pour 60% leur entreprise a moins d’un an), les femmes dirigeantes sont aussi plus diplômées : 48% d’entre elles ont décroché une licence ou plus, contre 34% des hommes. Coté secteur, elles s’intéressent avant tout au commerce et aux services aux entreprises (38%) comme aux particuliers (18%). Seuls l’artisanat (3% des femmes), l’industrie (1%) et les finances (0%) restent le précarré des hommes.

Deux sexes, deux visions de l’entrepreneuriat

« C’est difficile pour une femme d’entreprendre », en tout cas c’est ce que disent 36% des femmes, contre seulement 16% des hommes entrepreneurs. Les principales difficultés rencontrées ? « L’accès au financement » serait un mal plutôt masculin (66% des hommes déclarent qu’il s’agit d’une difficulté, contre 55% des femmes) tandis que le « développement de la clientèle » serait davantage un mal féminin (54% des femmes jugent qu’elles rencontrent des difficultés à développer leur clientèle, contre 45% des hommes). Enfin, l’équilibre vie professionnelle-vie personnelle ne semble pas représenter une difficulté insurmontable lorsqu’on est entrepreneur(e) : seulement 19% des hommes et 15% des femmes considèrent cet aspect comme difficile dans leur activité.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE-PME interrogés du 08/02/2016 au 29/02/2016

Février 2016 : L'entrepreneur : nouveau héros du 21ème siècle Baromètre Petite-Entreprise.net

Être entrepreneur, c’est travailler 56 heures par semaine, prendre 2 semaines de vacances par an et vivre l’incertitude au quotidien. Et pourtant, 83% des dirigeants de TPE ne regrettent pas leur choix, pour la liberté et l’amour de leur métier.

Malgré les difficultés, 83% des entrepreneurs ne regrettent pas leur choix

« Entrepreneur » rime avec « travailleur ». Pour ce dernier, la semaine de 35 heures est un mythe, puisqu’en moyenne, le dirigeant de TPE travaille 56 heures par semaine. 38% travaillent même plus de 60 heures et un bon tiers (34%) ne prend pas de congés. Etre entrepreneur, c’est avant tout faire le choix de son activité et se sentir libre. Ainsi, pour 44% des chefs d’entreprise sondés, le premier avantage de l’entrepreneuriat est de « ne pas avoir de patron » et pour 39% d’entre eux, de « faire ce que l’on aime faire ». Le fait de « gagner de l’argent » n’apparaît en rien comme un avantage. Au contraire, le manque de revenus est même cité comme un inconvénient pour 25% des personnes sondées. La difficulté n°1 lorsque l’on est entrepreneur demeure l’incertitude au quotidien, pour 34% des dirigeants. Malgré ces chiffres qui pourraient paraître décourageants, 83% des entrepreneurs ne regrettent pas leur choix de la voie entrepreneuriale.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE-PME interrogés du 15/01/2016 au 08/02/2016

Janvier 2016 : Le miracle TPE aura-t-il lieu ? Baromètre Petite-Entreprise.net

En ce début d’année, 70% des Très Petites Entreprises (TPE) ont jugé l’année 2015 assez bonne voire excellente, contre 55% en 2015. 87% espèrent encore mieux faire en 2016. L’année 2016 serait-elle enfin l’année du rebond pour l’entrepreneuriat en France ?

Un bilan 2015 positif pour 70% des TPE

67% des dirigeants de petites entreprises (de 0 à 19 salariés) jugent l’année 2015 « assez bonne » voir « excellente » pour 3% d’entre eux. A titre de comparaison, ils étaient 55% l’an dernier à être satisfaits de 2014. La situation des très petites entreprises est donc en voie d’amélioration, d’autant que l’optimisme est de rigueur : 87% espèrent faire encore mieux en 2016 qu’en 2015. Comment ? En développant en premier lieu leur volume d’affaires (42% des sondés privilégient ce type de mesures en début d’année) et en passant par davantage de facilités bancaires (28% des sondés). Côté emploi, même si 15% des sondés pensent « embaucher dans les 3 prochains mois », seuls 1% avancent cette mesure comme prioritaire.

19% des dirigeants inquiets sur leur avenir

6Ce bilan ne cache pas l’anxiété de certains chefs d’entreprise : 30% d’entre eux jugent l’année 2015 mauvaise et 19% ont pour espoir de pouvoir « conserver leur entreprise en 2016 » (contre 7% l’an dernier). La fracture s’agrandit donc entre les entreprises en progression et les autres, qui vont jusqu’à craindre la faillite.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE-PME interrogés du 11/12/2015 au 11/01/2016

Spécial 13 Nov. 2015 : Attentats, un quart des très petites entreprises touchées Baromètre Petite-Entreprise.net

Un mois après les attentats du 13 novembre et l’instauration de l’état d’urgence, les artisans, commerçants et petites entreprises indiquent clairement un impact négatif sur leur chiffre d’affaires, pour une entreprise sur quatre environ. Pour ces entrepreneurs, les fêtes de Noël seraient cependant modérément affectées, et 2016 s’annonce incertain.

22% des dirigeants observent un ralentissement de leur chiffre d’affaires depuis les attentats

Les attentats de Paris ont eu un impact au niveau national dans les esprits, mais aussi dans l’économie. Ainsi, près d’un quart (22%) des entreprises de petite taille (0-19 salariés) ont ressenti un ralentissement de leur chiffre d’affaires. D’après les entrepreneurs sondés, cet effet se poursuivra en 2016 surtout sur l’économie touristique et culturelle (pour 45% d’entre eux) voire pour tous les secteurs (40%). Seuls 15% ont le sentiment que l’économie globale ne sera pas touchée. A plus court terme, la quasi totalité des dirigeants pensent cependant que l’effet sur les achats de noël sera nul (49%) sinon modéré (49%).

Peu de mesures prises dans les TPE suite aux attentats

Depuis les évènements, 89% des chefs d’entreprise indiquent ne pas limiter leurs déplacements professionnels, et 98% n’ont pris aucune disposition pour sécuriser leur entreprise : pour l’heure, l’organisation dans les petites entreprises ne fait donc l’objet d’aucune remise en cause.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE-PME interrogés du 23/11/2015 au 11/12/2015

Décembre 2015 : COP 21 - Les entrepreneurs conscients de l'urgence environnementale Baromètre Petite-Entreprise.net

À l’aube de la COP21 qui aura lieu à Paris, du 30 novembre au 11 décembre, les entrepreneurs français s’expriment sur leur sensibilité à l’environnement. Un constat sans appel : la prise de conscience est là, même si les actions pour l’environnement dans l’entreprise pourraient être plus nombreuses..

94% des dirigeants sensibles à l’environnement

Chiffre révélateur, la sensibilité à cette cause est forte et demeure la première étape d’un changement des comportements. 70% des entrepreneurs se disent même « très sensibles » aux problèmes liés à la préservation de l’environnement. Autre chiffre important, près des deux tiers (63%) considèrent que l’environnement est davantage un moteur qu’un frein à l’entrepreneuriat. Les contraintes réglementaires vécues par certains entrepreneurs (bâtiment, alimentaire, etc.) ne viennent pas freiner cet élan : 55% des entrepreneurs déclarent même qu’il faudrait davantage de rigueur dans la réglementation. Tous les feux sont donc au vert pour favoriser le « green business ».

Un passage à l’acte encore timide

Dans les faits, le passage à l’acte reste cependant plutôt timide. Certes, les petites entreprises ont en majorité adopté le recyclage (65% recyclent dans leur entreprise) mais peu s’engagent encore dans d’autres actions comme les économies d’énergie (8% des sondés), le covoiturage (3%) ou même l’économie de papier (2%). Au-delà de la prise de conscience, la défense de l’environnement n’est donc pas encore entrée de plein pied dans les process et la vie de l’entreprise..

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE-PME interrogés du 09/11/2015 au 23/11/2015

Novembre 2015 : Les TPE veulent plus de flexibilité sur le Code du travail Baromètre Petite-Entreprise.net

Pour de nombreux dirigeants de TPE, embaucher en CDI est un acte délicat voire même anxiogène. Pour débloquer l’embauche dans les TPE, les dirigeants plébiscitent davantage de liberté et de flexibilité dans le Code du travail.

Les dirigeants de petites entreprises ont peur d’embaucher en CDI

Si 65% des dirigeants de TPE considèrent que le Code du travail protège autant le salarié que le chef d’entreprise, 28% soulignent une protection plus grande donnée au salarié. Comme par corollaire, 64% des dirigeants indiquent « avoir peur d’embaucher quelqu’un en CDI ». Cette protection perçue comme importante irait-elle finalement à l’encontre des intérêts du salarié ? Par comparatif, la peur d’embaucher vient en troisième position dans les freins au développement de l’entreprise, après l’accès au financement et les carnets de commande trop faibles.

Un besoin de liberté et de flexibilité

37% des entrepreneurs considèrent que s’ils devaient revoir le Code du travail, ils donneraient plus de liberté sur le contrat de travail entre le salarié et le chef d’entreprise. Pour autant, les dirigeants de TPE ne souhaitent pas à l’unanimité un système à l’anglo-saxonne, où la gestion des embauches et des licenciements serait calée sur l’activité de l’entreprise : 48% ne sont pas d’accord avec cette option. A noter que l’idée de « faciliter le licenciement » n’apparait comme une priorité que pour 10% des dirigeants interrogés : le Code du travail doit faciliter l’embauche et les relations avec l’employé avant toute chose.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE-PME interrogés du 22/10/2015 au 09/11/2015

Octobre 2015 : Les entrepreneurs encore frileux sur les "avis clients" Baromètre Petite-Entreprise.net

Aujourd’hui, on donne son avis sur tout : spectacle, hôtel, restaurant mais aussi plombier, expert-comptable ou dentiste. Si le grand public consulte majoritairement les avis clients avant d’acheter en ligne, les chefs d’entreprise portent un regard plus frileux sur ces avis.
Décryptage dans ce baromètre spécial « Avis clients ».

Un entrepreneur sur deux ne fait pas confiance aux avis clients

Premier constat, la crédibilité des avis clients ne fait pas l’unanimité chez les dirigeants de TPE. À parts quasi égales, nous retrouvons d’un côté les convaincus (51%) et les sceptiques de l’autre (49%). 57% des dirigeants interrogés admettent tout de même porter de l’importance à la réputation de leurs fournisseurs et partenaires. On notera aussi que la majorité des chefs d’entreprise (55%) accorde davantage sa confiance aux avis quand l’identité du client est fournie. Avis certifiés : quel engouement ? Même si aux yeux de 39% des dirigeants la certification la plus fiable est celle de la norme NF, 52% d’entre eux restent indifférents à ce type d’authentification : la suspicion reste de mise.

Les chefs d’entreprise conscients que les avis clients sont importants pour leur activité

Aujourd’hui, 31% des dirigeants de TPE restent complètement fermés à l’utilisation des avis clients dans leur activité. Toutefois, les temps changent et s’accompagnent d’une prise de conscience. Face à des consommateurs de plus en plus sensibles à l’opinion et l’expérience de précédents utilisateurs, 24% des patrons exploitent déjà leurs avis clients au profit de leur activité. Et même si pour les 45% restants cela n’est pas encore fait, ils en mesurent déjà l’importance et ne tarderont pas à les afficher. Dans cette tendance, le site Petite-Entreprise.net propose lui-même un système d’avis clients pour les entrepreneurs qui le souhaitent.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE-PME interrogés du 11 au 29/09/2015

Septembre 2015 : Loi Macron : "Peut mieux faire" selon les dirigeants de TPE Baromètre Petite-Entreprise.net

Les mesures de la loi Macron, censées accélérer l’activité économique du pays, sont accueillies tièdement par les dirigeants des petites entreprises. Pas de tollé, ni de réelle adhésion sur une loi qui, semble-t-il, ne répond que modestement aux attentes de cette population d’entrepreneurs. Une exception : le travail du dimanche est, quant à lui, plutôt bien accepté.

Une loi finalement mal connue des dirigeants de TPE

Le constat est sans appel : 85% de nos très petites entreprises disent ne pas bien connaître les mesures de la loi Macron. Déficit de communication ? Manque d’intérêt ? Ciblage trop large ? Les mesures, à la fois sectorielles (professions réglementées, transports…) et grand public (ouverture le dimanche) n’ont pas trouvé un écho fort sur la cible des dirigeants de TPE. En moyenne, ces dirigeants attribuent une note de satisfaction très moyenne (4,87/10) à cette loi.

Investissement et charges, les deux leviers à privilégier

Dans les mesures citées dans l’enquête, celle favorisant l’investissement (possibilité d’amortir 140% de la valeur de certains investissements pendant un an) est plébiscitée par les TPE. Au-delà des effets réels de la mesure, c’est l’intérêt pour la relance de l’investissement qui prévaut chez les dirigeants interrogés. D’eux-mêmes, ces dirigeants souhaiteraient à 51% une baisse des charges salariales et patronales comme mesure prioritaire « s’ils étaient à la place du Ministre ». L’assouplissement du Code du Travail arrive en 2ème position avec 12% des votes.

Une exception : le travail du dimanche est plutôt bien accepté

Si le thème peut avoir créé des dissensions entre commerces de proximité et autres commerces, les TPE dans leur ensemble voient plutôt d’un bon oeil le fait de pouvoir faciliter le travail dominical. Si 21% estiment que 12 dimanches dans l’année est un bon chiffre, 42% souhaiteraient même aller plus loin. À noter que l’impact pour les TPE, au stade de cette enquête, est faible puisque 72% des interrogées considèrent que l’ouverture du dimanche dans certains secteurs n’a pas d’impact sur leur activité.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE- PME interrogés du 6 au 28 août 2015

Août 2015 : Une rentrée à 200% pour les patrons Baromètre Petite-Entreprise.net

Le baromètre Août 2015 de Petite-Entreprise.net s’intéresse à la rentrée des dirigeants de TPE-PME. Pour ces derniers, c’est avant tout une période motivante dans laquelle ils s’investissent à 200%. Bien démarrer l’année semble primordial pour ces millions de « petits patrons ».

La rentrée démarre en septembre pour la majorité des entrepreneurs

Même si de nombreux dirigeants de TPE-PME continuent de travailler en juillet-août (62% ne prennent pas de vacances en été*), il y a bien une « rentrée » et celle-ci aura lieu début septembre pour 52% des entrepreneurs, contre 37% qui la démarrent dès le mois d’août.
* Source Baromètre Petite-Entreprise.net – Juillet 2015

Les entrepreneurs attaquent la rentrée à 200%

Côté motivation, la rentrée est une période stimulante pour 48% des chefs d’entreprise sondés. Seuls 20% la voient comme un moment de stress. Que ce soit pour une question de trésorerie ou de développement, la priorité à la rentrée sera, pour 47% des répondants, la recherche de financement, tandis que 22% en profiteront pour revoir l’organisation de leur entreprise.

En conclusion, cette rentrée 2015 sera une rentrée vécue à 200%, quitte à délaisser un peu la vie personnelle. En effet, 88% des patrons interrogés consacreront encore plus de temps à leur travail.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 100 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE- PME interrogés du 7 au 28 juillet 2015

Juillet 2015 : Pour les petits patrons, l'été rime-t-il avec vacances ? Baromètre Petite-Entreprise.net

Le baromètre Juillet 2015 de Petite-Entreprise.net s’intéresse à l’activité des artisans et dirigeants de TPE pendant les congés d’été. Un constat : l’été est une vraie période d’activité pour 60% des petites entreprises. Pour les autres, peu de relâchement même si les chaleurs sont l’occasion de venir « plus décontracté » au travail… 7% acceptent même les tongs et le short dans l’entreprise !

Pour 60% des TPE, l’été est une vraie période d’activité

Premier constat, en été tous les patrons ne se mettent pas au vert : 62% des patrons ne prennent pas de vacances, 23% seulement s’accorderont une petite semaine et 8%, 2 semaines (en 2014, 42% des Français comptaient poser au moins deux semaines de congés*). Cette tendance peut s’expliquer par le constat suivant : pour 60% des entreprises, l’activité ne ralentit pas en été. Pour ceux qui prennent quelques congés, le patron reste sur le pont en s’organisant pour répondre lui-même aux appels (68% des dirigeants). Seuls 13% laisseront le téléphone sonner sans réponse.
* Source AFP

L’été, on travaille plus « décontracté »

Même si, pour 10% d’entre eux, l’été n’est pas prétexte à bousculer les habitudes, certains ne sont pas contre organiser plus de soirées (16%), ou permettre aux collaborateurs de partir plus tôt (9%). Enfin à défaut de rimer avec vacances, l’été rime avec décontracté ! 58% des dirigeants autorisent leurs collaborateurs à vêtir une tenue plus décontractée, et ils sont même 7% à accepter tongs et shorts dans l’entreprise ! On peut imaginer qu’avec la canicule, ce chiffre devrait augmenter.

Cet été, 15% des TPE envisagent d’embaucher

En complément des questions mensuelles, le baromètre Petite-Entreprise.net réalise désormais un focus sur les prévisions de croissance des TPE tous les mois. Ainsi, 22% des TPE comptent investir et 15% embaucher dans le prochain trimestre, avec un moral des dirigeants qui s’établit en juin à 6,27/10.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique auprès de 103 créateurs d’entreprise et dirigeants de TPE- PME interrogés du 16 au 30/06/2015

Mai 2015 : Les garagistes préfèrent Internet pour l'information professionnelle Enquête Petite-Entreprise.net - Spécial Internet et garagistes

Pour un garagiste ou un carrossier, avoir accès à une information professionnelle de qualité est indispensable pour évoluer avec les normes et la technicité croissante du métier. Parmi les différents médias, Internet sort désormais légèrement du lot, avec un usage régulier pour près d’un entrepreneur sur deux. Mais que vont chercher les professionnels sur Internet ? Petite-Entreprise.net, n°1 de l’accompagnement des créateurs et dirigeants de TPE, leur a posé la question.

1 garagiste sur 2 utilise Internet pour l’information professionnelle

46% des garagistes utilisent Internet pour obtenir des informations liées à leur activité. La presse interprofessionnelle arrive juste derrière avec 43%, puis vient la Presse Quotidienne Régionale avec 23%. « La richesse et l’accessibilité d’Internet ont convaincu une grande partie des dirigeants, mais pas tous : 31% d’irréductibles n’utilisent pas Internet dans le cadre professionnel » souligne Odile Olivier, dirigeante de Petite-Entreprise.net.

Le dirigeant se focalise sur de l’information « opérationnelle »

Que recherchent ces entrepreneurs sur internet ? Principalement des informations fournisseurs (32%) et des informations sur leur secteur (23%). Internet est devenu un outil indispensable pour comparer les prix, trouver la bonne marchandise et commander en ligne. Les informations techniques sur le métier ou le conseil extérieur ne viennent que bien après. « C’est le reflet du quotidien des dirigeants, tourné majoritairement vers l’opérationnel : Internet est un média réactif qui s’adapte bien à cet usage. La prise de recul est plus rare et l’appel au conseil se fait de façon ponctuelle, lorsque l’entreprise est plus fragile ou que le dirigeant est confronté à des choix importants (embauche, recherche d’investissement ou de nouveaux clients, management, etc.). C’est là qu’ils s’adressent le plus souvent à Petite-Entreprise.net » ajoute Odile Olivier.

Source : Enquête téléphonique réalisée par Epsilon Marketing et commandée par Petite-Entreprise.net sur 122 dirigeants du secteur Auto/Garagistes/Carrossiers – Sept-Déc. 2014

Avril 2015 : Les entrepreneurs adeptes du poisson d'avril ? Baromètre Petite-Entreprise.net

L’humour fait-il bon ménage avec les affaires ? Avec l’avènement du web et des réseaux sociaux, bon nombre d’entreprises utilisent le 1er avril pour faire parler d’elles et montrer leur singularité. Mais qu’en est-il pour les artisans et dirigeants de TPE ? En cette veille de 1er avril, Petite-Entreprise.net dévoile les résultats de son baromètre mensuel sur l’humour en entreprise.

Avoir de l’humour, une qualité importante pour le dirigeant

Pour 57% des dirigeants de TPE, l’humour est une qualité importante quand on est entrepreneur, et même très importante pour 10% d’entre eux. Une tendance suivie des faits puisque près de 50% avouent rire souvent ou très souvent dans leur activité. Seuls 6% des dirigeants ne rient que rarement dans le cadre professionnel. Une façon de décompresser ? Pas seulement, car il s’agit aussi d’un moyen pour nouer de bonnes relations commerciales. Les dirigeants sont ainsi 58% à rire le plus souvent avec leurs clients, bien avant leurs collègues (22%) ou leurs fournisseurs (6%).

De là à faire un poisson d’avril, peut-être pas…

Si l’humour est important, il y a des limites. Le « poisson d’avril » est un pas qu’il ne faut pas franchir pour près des trois quarts des dirigeants. L’humour reste donc un terrain sur lequel l’entrepreneur joue prudemment, car le risque est grand de saboter une bonne relation client ou une réputation sérieuse. Seuls 2% des dirigeants de TPE feront certainement un poisson d’avril cette année. C’est peu, mais cela représente tout de même 60 000 poissons à surveiller… Jetez un oeil dans votre dos, on ne sait jamais.

La priorité va à la diminution des charges mais aussi au dialogue avec un interlocuteur unique

Quel serait alors, selon les patrons de petites entreprises, le premier levier pour améliorer la situation ? La priorité serait de diminuer les charges en revoyant leur mode de calcul. Pascal Geai, Président du mouvement « Sauvons nos entreprises » pousse un cri d’alarme et propose « une baisse des charges de 50% à 30% et un mode de calcul non pas à l’année mais au trimestre, au plus près de la réalité. » « Cela permettrait de vérifier ce qu’on nous demande de payer et de pouvoir provisionner sur le trimestre suivant » ajoute-t-il. D’autres propositions du mouvement comme un meilleur dialogue et la mise en place d’un interlocuteur unique permettraient aussi d’engranger des économies. A noter que les chefs d’entreprise interrogés ne demandent pas une refonte complète du système (plébiscitée par seulement 16% d’entre eux), mais un régime plus juste et un niveau de services plus élevé à l’égard des cotisants.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique sur 101 créateurs dirigeants de TPE interrogés du 01 au 27/03/2015.

Mars 2015 : Internet plébiscité par les entrepreneurs du BTP Enquête Petite-Entreprise.net - Spécial Internet et BTP

Pour un artisan ou une petite entreprise du BTP, avoir accès à une information professionnelle de qualité est indispensable pour évoluer avec les normes, s’ouvrir à de nouveaux marchés et permettre des gains de productivité. Parmi tous les différents médias, Internet sort désormais du lot, avec un usage important pour près d’un entrepreneur sur deux. Mais que vont chercher les professionnels sur Internet ? Petite-Entreprise.net, n°1 du service de proximité aux TPE, leur a posé la question.

Internet, premier support de recherche des dirigeants du BTP

46% des artisans et dirigeants de TPE (0-19 salariés) du secteur du BTP utilisent Internet pour obtenir des informations pour leur entreprise. La presse professionnelle arrive en seconde position avec 33% et l’entourage (Chambre des Métiers et de l’Artisanat, collègues…) ne vient qu’en quatrième position (18%). « La richesse et l’accessibilité d’Internet ont convaincu une grande partie des dirigeants, mais pas tous : 30% d’irréductibles n’utilisent pas Internet dans le cadre professionnel, que l’entreprise aille bien ou mal » souligne Odile Olivier, dirigeante de Petite-entreprise.net. Par ailleurs, avec 25% d’entrepreneurs qui privilégient la presse régionale, cette dernière confirme son rôle d’information sur l’économie locale.

Le dirigeant se focalise sur de l’information « opérationnelle »

Que recherchent ces entrepreneurs sur internet ? Principalement des informations fournisseurs pour 41% d’entre eux et des informations sur leur secteur (22%). Internet est devenu un outil indispensable pour comparer les prix, s’adapter aux évolutions du secteur (norme RGE par exemple) ou s’ouvrir à de nouveaux marchés. Les informations techniques sur le métier ou le conseil extérieur ne viennent que bien après. « C’est le reflet de la psychologie des dirigeants, tournée majoritairement vers l’opérationnel, car il faut bien que leur entreprise tourne. La prise de recul est plus rare, même si elle est importante, et l’appel au conseil se fait de façon ponctuelle, lorsque l’entreprise est plus fragile ou que le dirigeant est confronté à des choix (embauche, recherche d’investissement, de nouveaux clients, etc.). C’est là qu’ils s’adressent le plus souvent à Petite-Entreprise.net » ajoute Odile Olivier. Un dernier point important : seuls 2% des entrepreneurs utilisateurs d’Internet y vont pour s’inscrire à un appel d’offre, confirmant le trop faible poids de ces structures dans les chantiers publics. Un large champ à conquérir…

Source : Enquête téléphonique réalisée par Epsilon Marketing et commandée par Petite-Entreprise.net sur 278 dirigeants de TPE du secteur BTP – Sept-Déc. 2014

Mars 2015 : Le RSI cristallise les mécontentements des dirigeants de TPE-PME Baromètre Petite-Entreprise.net

Le RSI (Régime Social des Indépendants) subit les foudres des entrepreneurs. A l’occasion de la manifestation organisée le 9 mars par l’association « Sauvons nos entreprises », le baromètre Petite-Entreprise.net donne la parole aux dirigeants de TPE-PME sur leur régime de sécurité sociale : charges trop lourdes, mode de calcul à revoir, mauvaise communication, les chefs d’entreprise soulignent le stress généré par le RSI et les pistes d’amélioration prioritaires.

Le RSI souffre d’une mauvaise image

Mauvaise note pour le RSI : 69 % des dirigeants interrogés en ont une opinion assez mauvaise, voire même très mauvaise pour 31 %. Seuls 2% ont une très bonne opinion du système de protection sociale. Des résultats qui, sans virer à la catastrophe, révèlent l’image très médiocre du RSI et la nécessité de répondre à la frustration de beaucoup de dirigeants de TPE-PME.

Des charges trop lourdes et une remise en cause du mode de calcul du RSI

Principaux reproches ? Les charges abusives, suivi par la méthode de calcul des cotisations et par le manque d’accessibilité aux services du RSI. Mais l’état des griefs ne s’arrête pas là : caractère oppressant, délais de carence abusifs (7 jours actuellement), perception laborieuse des indemnités ou encore manque de transparence s’ajoutent à la liste. Conséquence, le RSI cristallise les mécontentements et devient une source de stress importante pour 57% des dirigeants, voire très importante pour 16% d’entre eux.

La priorité va à la diminution des charges mais aussi au dialogue avec un interlocuteur unique

Quel serait alors, selon les patrons de petites entreprises, le premier levier pour améliorer la situation ? La priorité serait de diminuer les charges en revoyant leur mode de calcul. Pascal Geai, Président du mouvement « Sauvons nos entreprises » pousse un cri d’alarme et propose « une baisse des charges de 50% à 30% et un mode de calcul non pas à l’année mais au trimestre, au plus près de la réalité. » « Cela permettrait de vérifier ce qu’on nous demande de payer et de pouvoir provisionner sur le trimestre suivant » ajoute-t-il. D’autres propositions du mouvement comme un meilleur dialogue et la mise en place d’un interlocuteur unique permettraient aussi d’engranger des économies. A noter que les chefs d’entreprise interrogés ne demandent pas une refonte complète du système (plébiscitée par seulement 16% d’entre eux), mais un régime plus juste et un niveau de services plus élevé à l’égard des cotisants.

Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique sur 120 dirigeants de TPE interrogés du 01 au 28/02/2015.

Février 2015 : Label RGE : Bientôt une nécessité pour tous les artisans ?

Indispensable ? Contraignant ? Valorisant ? Né en 2011 mais propulsé réellement depuis juillet 2014, comment le label RGE est-il perçu par les dirigeants de TPE ? Le baromètre « Qu’en pensent les patrons » de Petite-Entreprise.net souligne davantage une nécessité qu’un réel engouement des professionnels pour ce label.

Le label RGE « Reconnu Garant de l’Environnement » permet de distinguer les entreprises sérieuses et qualifiées vers lesquelles les particuliers peuvent se tourner pour la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique, ouvrant droit aux aides financières pour les logements anciens. Via ce label les pouvoirs publics comptent rassurer les particuliers sur la qualification du prestataire et valoriser les filières et pratiques éco-responsables.

Bientôt, tous les artisans devront être RGE

Premier constat : 88 % des dirigeants de TPE interrogés savent ce qu’est le label RGE, ce qui est plutôt un très bon score, sachant que Pe.net n’interroge pas uniquement des professionnels du bâtiment. Le RGE est-il indispensable ? A priori, il tendrait à le devenir, puisque près de 70% des particuliers demandent à l’artisan s’il dispose du précieux label. Depuis septembre 2014, il est même indispensable de faire appel à un professionnel RGE pour accéder aux avantages fiscaux sur les travaux énergétiques (depuis le 1er janvier 2015 pour le Crédit d’Impôt Développement Durable – CIDD). Les professionnels n’auront d’autre choix que d’en respecter les critères, y compris ceux qui sous-traitent et qui devront faire appel à des sous-traitants RGE pour détenir eux-même le label : une logique qui mécaniquement fera grossir la demande. En juillet 2014, l’Ademe estimait à 18 000 le nombre d’entreprises labellisées RGE, avec une forte demande des professionnels ces six derniers mois pour obtenir une formation auprès des organismes compétents (source CAPEB). Didier NEYRAT du Cabinet Transico et correspondant Petite-Entreprise.net, qui accompagne les entreprises sur l’obtention du label, attire notre attention sur ce point : « Les artisans ont compris que l’absence du précieux label RGE allait leur faire perdre des clients. Il y a donc un afflux de demandes depuis quelques mois, et dans certains départements, l’obtention d’une Qualification associée au label peut prendre jusqu’à 3 mois ».

Les bienfaits du label limités pour le professionnel

Le label rassure le particulier sur la qualification du professionnel qui vient faire ses travaux. Pour le professionnel lui-même, les avis sont partagés : pour 45% des répondants, le label RGE n’offre pas spécialement d’avantage, sinon celui d’éviter de perdre des clients. Il est donc vécu plutôt comme une contrainte par la moitié des dirigeants : seuls 43% y voient une opportunité et en cela une façon de valoriser la qualité de leurs travaux. Un moyen d’augmenter aussi leurs tarifs ? Cela paraîtrait logique.

En conclusion, si le label RGE répond aujourd’hui à un consensus sur la nécessité de promouvoir les travaux garants de l’environnement, l’obligation d’obtenir ce label est plutôt mal vécue par les TPE, qui réagissent pour beaucoup de façon épidermique à toute nouvelle contrainte administrative. D’autant que si, à terme, la plupart des artisans deviennent RGE, où sera l’avantage de détenir un tel label ?


Source Baromètre TPE – Petite-Entreprise.net – Enquête téléphonique sur 140 dirigeants de TPE interrogés du 5 au 31/01/2015.

Janvier 2015 : TPE-PME, un vent d'optimisme en 2015 ?

anvier est propice au bilan et à la prospective sur l’année à venir. Qu’en est-il des artisans et dirigeants de TPE ? Si 45 % d’entre eux ont passé une mauvaise année 2014, le vent tourne tout de même à l’optimisme en ce début d’année. Dans son baromètre de janvier, Petite-Entreprise.net nous renseigne sur le moral et les premières intentions des entrepreneurs en 2015.

81 % des dirigeants pensent que 2015 sera meilleur que 2014

Sans crier à l’optimisme général, un vent plus conciliant souffle sur l’entrepreneuriat et les entreprises. Il faut dire que les tensions, notamment sur les TPE (entreprises de moins de 20 salariés) ont été particulièrement forte en 2014, notamment pour les très petites structures de 1 à 2 salariés (+30 % de défaillances au 3ème trimestre 2014 par rapport à 2013, selon Altarès). Les perspectives de reprises prévues en 2015 (le marché de l’automobile par exemple reprend des couleurs) rendent, tout en restant prudent, un peu le sourire aux dirigeants.

Développer son chiffre d’affaire avant tout

La demande revient peu à peu, mais reste insuffisante selon les dirigeants sondés : la priorité va d’abord au développement du chiffre d’affaires pour 29% d’entre eux, et à davantage de liberté d’action. Cette dernière passe par la recherche de facilités bancaires pour soutenir l’activité (16%) ou la diminution des charges (11%). Les entreprises voient venir la croissance, mais n’en ressentent pas encore suffisamment les effets », indique Odile Olivier. « C’est comme s’ils recherchaient d’abord de l’oxygène avant de se lancer dans un marathon », ajoute-t-elle, avant de préciser : « le marathon, c’est d’abord celui de la recherche de trésorerie et de la remise à niveau des fonds propres, de l’investissement, puis d’éventuelles embauches, après cette longue période d’atonie. Enfin, n’oublions pas qu’une grande partie des entreprises reste encore fragile : 7% ont pour vœu le plus cher de sauvegarder leur entreprise en 2015 ».

Il est logique, dans ce contexte, que la première intention en 2015 pour 39% des TPE soit la relance de leur activité (recherche de nouveaux clients ou de débouchés). La recherche de financement (22%) ou d’une aide extérieure (15%) et l’embauche (10%) arrivent ensuite.

Source : Baromètre mensuel Petite-Entreprise.net – Enquête auprès de 320 dirigeants de petites entreprises – Novembre Décembre 2014.

Décembre 2014 : Le nombre d'entreprises en difficulté ne diminue pas selon le dernier Baromètre Altares : des pistes d'explications.

En cette fin d’année, comme tout le monde, les entrepreneurs dressent le bilan de l’année écoulée et surtout se tournent vers l’avenir. Une part importante des entrepreneurs considère comme très incertaine l’année 2015. Dans son baromètre mensuel, Petite-Entreprise.net fait un bilan rapide de 2014 et a demandé aux chefs d’entreprise de partager leurs voeux pour 2015.

Des disparités dans les entreprises

En 2014, nous avons pu constater des disparités dans les entreprises : 55 % des dirigeants interviewés ont connu une bonne année – voire excellente pour 9 % d’entre eux. De l’autre côté 45 % des dirigeants ont connu des difficultés. Quand on va plus loin dans les retours que nous avons des entrepreneurs en difficultés, on relève trois symptômes essentiels : une clientèle de plus en plus exigeante qui tire les prix vers le bas, une demande plutôt à la baisse dans certains secteurs (par exemple le BTP, l’hôtellerie et certains commerces de proximité) et un accès au financement encore difficile. A noter que près de 10 % des entreprises sondées ont passé une très mauvaise année 2014, ce qui représente environ 300 000 entreprises à l’échelle nationale.

Une priorité : le chiffre d’affaires

Il est intéressant de voir en cette fin d’année quels sont les voeux de ces entrepreneurs qui font notre économie au quotidien : ils veulent plus de clients (29 %), et plus de facilités bancaires pour soutenir leur activité (16 %). Les autres souhaits sont plutôt diversifiés, même si la diminution des charges (11 %) arrive ensuite en tête. Les TPE sont plus agiles que les grands groupes, cependant par notre expérience d’échanges quotidiens avec cette typologie d’entreprise nous avons pu constater un talon d’Achille important : la baisse durable de la demande et donc du chiffre d’affaires a un impact direct sur la santé de l’entreprise. L’entreprise ne dispose pas de fonds suffisants pour y faire face, et de fait, a des problèmes pour financer ces périodes délicates.
Les aides au financement (banques et BPI) sont plus facilement attribuées à l’amélioration des fonds propres ou à l’investissement, et moins au soutien des entreprises en difficultés. Les voix de la diversification et de l’innovation, qui permettraient d’alimenter une nouvelle demande, sont encore trop peu empruntées.

Des vœux 2015 parfois en forme d’appels au secours

Dans ce contexte, nous recevons beaucoup de témoignages en forme d’appels au secours. En plus d’un baromètre mensuel régulier nous permettant de mesurer l’état et les attentes des entrepreneurs, nous avons lancé début décembre « La liste au Père-Noël » pour les entrepreneurs, afin de recueillir leurs souhaits pour cette nouvelle année. Cette liste au Père-Noël – envoyée au gouvernement en janvier 2015 – a recueilli des témoignages parfois poignants et très alarmants.
L’administration est aussi prise à partie et nous entendons des mots comme « racket », « soutirer de l’argent », « ponctionner » vis-à-vis des pouvoirs publics. Si cette liste n’est évidemment pas représentative, elle donne le ton : certains entrepreneurs indiquent clairement que face aux difficultés, l’administration ne jouerait pas son rôle de régulateur mais au contraire viendrait aggraver une situation déjà difficile. Le système du RSI, notamment, est mal accepté par beaucoup d’entrepreneurs.
Mais restons positifs, sur les voeux exprimés par les entrepreneurs dans notre baromètre mensuel, 58 % pensent qu’ils vont se réaliser.

Source : Baromètre mensuel Petite-Entreprise.net – Enquête auprès de 160 dirigeants de petites entreprises – Novembre/Décembre 2014.

Les tribunes

Janvier 2016 : TPE-PME : 3 conseils pour bien démarrer 2016 ?

Le dernier baromètre P-E.net de janvier 2016* a révélé que, dans une large majorité, les dirigeants de TPE (Très Petites Entreprises) étaient plutôt satisfaits de l’année 2015 et qu’à 87%, ils espéraient même faire mieux en 2016. Après les espoirs, les faits : voici quatre conseils qu’il nous semble important de suivre pour exaucer les voeux de succès des petites entreprises.

Faire un audit de sa performance commerciale et de sa relation clients

Pour 42%* des TPE, développer le chiffre d’affaires est la priorité numéro 1 en 2016. L’audit de la performance commerciale et de ses relations clients est le premier point à travailler pour répondre à cet objectif. Cet audit complet doit suivre trois axes principaux :

  • Un audit de satisfaction de ses clients : en face à face ou par mail, il est extrêmement important de procéder à une enquête de satisfaction auprès de ses clients pour évaluer les forces et faiblesses de l’entreprise et déceler les leviers d’amélioration. Niveau de satisfaction globale, souhaits concernant l’offre produits/services, freins à l’achat, évaluation de la relation client sont des exemples de données à extraire de ce questionnaire. Cette performance peut être mesurée par le commerçant indépendant comme par une TPE de 10 salariés : outre le fait d’améliorer le lien avec ses clients, l’objectif est de définir ou confirmer la « proposition de valeur » de l’entreprise, c’est à dire la plus-value que l’entreprise apporte à ses clients dans leurs habitudes de consommation (Exemple : Proposer du pain chaud sortant du four toutes les heures).
  • Un audit des commerciaux / vendeurs : régulièrement, il est important de demander à ses salariés (ou a soi-même) d’effectuer un audit de leur performance commerciale. Discours, argumentaire, état d’esprit du vendeur, succès et échecs (et raisons de ces succès/échecs). Le dirigeant peut en tirer des conclusions importantes pour optimiser ses performances commerciales.
  • Un audit des indicateurs clés de la performance commerciale : taux de transformation, nombre de rendez-vous mensuels, taux de marge moyen par contrat, etc. sont autant d’indicateurs pour évaluer de façon générale la performance commerciale et permet d’effectuer un suivi mensuel.

Trouver de nouveaux clients

Une fois ces trois audits réalisés, le dirigeant doit évaluer la concurrence dans sa zone de chalandise, et savoir comment se différencier, c’est un passage important. Cela fait aussi partie de la définition de la « proposition de valeur » indiquée ci-dessus. Si un concurrent important se positionne sur le même type d’offre, il faudra trouver un moyen de se distinguer et communiquer fortement sur cette différence, qui pourra justifier une différence de prix par exemple.
L’étude de la concurrence peut être effectuée par un consultant indépendant ou une entreprise spécialisée. Petite-Entreprise.net met à disposition des artisans, commerçants et TPE une application « Etude de marché » qui permet d’accéder à un grand nombre de données agrégées à partir de différentes sources (INSEE, Infogreffe, etc.), moyennant un coût réduit.

Ce travail permettra au dirigeant de TPE de :

  • Créer une nouvelle offre qui corresponde à un segment de son marché inexploité jusqu’à présent.
  • Analyser les concurrents qui fonctionnent le mieux pour développer des stratégies adéquates.
  • Lancer des campagnes de communication mieux ciblées (flyers, prospectus, affichage, démarchage, etc.).
  • Tester de nouveaux canaux de distribution, comme la vente en ligne (on peut tester ce canal assez simplement sur Amazon.fr par exemple).
  • Fidéliser ses clients grâce à une bonne écoute (audit clients) : produits complémentaires, cartes de fidélité, nouveaux produits, etc.
  • Développer des partenariats lorsqu’on n’est pas spécialiste d’un domaine où quand l’investissement est trop important.

Optimiser ses modes de rémunération

Enfin, le développement du chiffre d’affaires n’est pas la seule source de revenus. En effet, le dirigeant n’imagine souvent pas combien il pourrait gagner en optimisant son statut social et ses modes de rémunération. Petite-Entreprise.net a travaillé sur ce sujet afin d’apporter aux TPE des outils d’optimisation de leurs revenus. Les résultats peuvent aller jusqu’à 50% de rémunération supplémentaire pour le dirigeant en adaptant la situation sociale du dirigeant et de son/sa conjoint(e) : il ne faut donc pas s’en priver.

Novembre 2015 : Tester son projet d'entreprise en 6 étapes

La Semaine mondiale de l’Entrepreneuriat se déroule du 16 novembre au 20 novembre 2015. Stimuler la création d’entreprise et booster la croissance économique, tel est l’un des objectifs. Cependant, encore beaucoup de créateurs se lancent sans avoir réellement testé leur projet d’entreprise. Comment tester son projet pour en garantir la meilleure réussite ? Le point de vue d’Odile Olivier, dirigeante du service Petite-Entreprise.net.

50% des entrepreneurs mettront la clé sous la porte dans 5 ans, selon l’INSEE. Notre volonté, chez Petite-Entreprise.net, est d’aider les dirigeants à s’assurer que leur projet tient la route, ce qui implique de les aider à tester leur idée en fonction des risques et de l’investissement financier.
De notre expérience, 6 grandes étapes sont à franchir pour le créateur qui souhaite tester son projet d’entreprise :

S’imprégner des codes de sa future clientèle

La connaissance de la cible est la primordiale. Il est nécessaire de rencontrer le maximum de clients potentiels, de salons, de se faire une idée du processus d’achat du produit ou du service proposé, de savoir si la concurrence n’est pas déjà durement positionnée, etc. Evidemment, une étude approfondie des comportements de la cible est un plus (qualitative et quantitative si possible).

Testez son idée auprès de ses futurs clients

IL’intérêt est surtout de révéler les écueils au développement du projet. Tester en live la vente du produit (ou de sa réservation, si on ne peut le fabriquer) permet d’entrer dans les motivations profondes de futur client et de ne pas se tromper. Si le produit séduit à l’achat une partie de votre clientèle, cela vient confirmer le business model établi et va rassurer ensuite les parties prenantes du projet (investisseurs notamment).

Créer un prévisionnel et le tester auprès d’un banquier

Le prévisionnel est le document qui permettra aux futurs investisseurs de se faire une idée juste du projet. Il faut savoir l’argumenter, faire des hypothèses basses (pour rassurer) et hautes (pour séduire). Obtenir un accord de principe d’un banquier sur votre projet peut s’avérer une preuve supplémentaire de la solidité de votre dossier.

S’appuyer sur les plateformes de crowdfunding

Le financement participatif (crowdfunding) poursuit sa forte croissance : les fonds collectés ont doublé en un an et s’élèvent à 133 millions d’euros sur les 6 premiers mois de 2015 (contre 66,4 sur la même période en 2014). Au moment ou même avant la création, le crowdfunding est un excellent moyen de tester son projet auprès d’une population très exigeante (seuls 4% des projets déposés sont sélectionnés). C’est aussi un excellent exercice pour savoir le présenter (pitch, images, discours, etc.).

Se tester soi-même

Créer une entreprise implique de tester sa rentabilité et sa faisabilité, mais cela implique également de tester son mental de futur dirigeant.
Afin de tester ses capacités, le créateur peut réaliser une auto-évaluation de son profil d’entrepreneur via des questionnaires en ligne, publiés par des organismes officiels (comme la CCI par exemple), ou assister des formations pour accroître son leadership.
Chez Petite-Entreprise.net, nous sommes en contact avec beaucoup de créateurs chaque jour. Ceux qui réussissent sont ceux qui développent une forte persévérance et surtout qui savent s’entourer. Le chef d’entreprise ne doit pas être le spécialiste de tout, il doit cependant développer un vrai leadership pour entraîner avec lui son équipe, sa famille, les investisseurs, bref, toutes les parties prenantes qui participeront au succès du projet.

Se lancer sans risques

Tester son projet, c’est aussi se lancer dans la course et ne pas rester « extérieur » au projet, tout en minimisant les risques. Pour cela, la couveuse d’entreprise peut être une alternative. En signant un contrat d’appui au projet d’entreprise, le créateur pourra tester son activité en utilisant le numéro de Siret prêté par la couveuse, pour les facturations nécessaires, mais également bénéficier de formations et d’un accompagnement pour bien démarrer. En contrepartie, le créateur reverse une partie de son CA à la couveuse.
Sur le même fonctionnement les créateurs portant un projet innovant pourront se tourner vers les incubateurs d’entreprise, qui leur sont exclusivement dédiés.
Pour ceux qui préfèrent garder un statut de salarié, les coopératives d’activité et d’emploi leur permettent cette option tout en étant accompagnés et formés à la gestion d’entreprise.
Enfin, pour les créateurs voulant se confronter seuls au monde de l’entrepreneuriat, le statut de micro-entrepreneur ou auto-entrepreneur est souvent la première étape pour tester son projet d’entreprise. C’est d’ailleurs la solution utilisée par près d’un million de porteurs de projets en France.

Octobre 2015 : Hélène Pintus, vainqueur du P-E.net Challenge 2015

Hélène Pintus remporte la première édition du P-E.net Challenge, un concours organisé par Petite-Entreprise.net et ouvert à toutes les TPE de moins de 20 salariés.

Sur 200 chefs d’entreprise inscrits à cette première édition, c’est le projet d’ Hélène Pintus qui a été plebiscité. Les internautes ont d’abord voté puis un jury de professionnels a sélectionné le meilleur projet parmi les 4 derniers en lice. Notons la présence de Carlos Diaz, CEO de Kwarter (USA) et « serial entrepreneur » dans le jury du P-E.net Challenge 2015, au moment du Salon i-Novia à Strasbourg le 8 octobre dernier. Hélène Pintus a reçu son prix ainsi qu’une récompense d’une valeur de 10.000€ pour soutenir son projet : un système innovant permettant aux enfants handicapés de se déplacer dans un lieu de vie en toute autonomie.

L’objectif du P-E.net Challenge lancé par le site Petite-Entreprise.net est de donner une chance aux 3 millions de TPE françaises de faire décoller leurs projets, tout en récompensant leurs capacités entrepreneuriales.
« L’ADN de Petite-Entreprise.net est la réussite de toutes les petites entreprises. Avec le P-E.net Challenge, les TPE ont dorénavant leur premier concours national » indique Odile Olivier, dirigeante de Petite-Entreprise.net.

Avril 2015 : Petite-Entreprise.net lance le club P-E.net et renforce sa mission de soutien aux TPE en France

P-E.net souhaite créer le plus grand « club d’entrepreneurs » de France

Petite-Entreprise.net, leader français de l’accompagnement des très petites entreprises (0-19 salariés), lance le « Club P-E.net » et affiche son positionnement de « défenseur » de la petite entreprise. Grâce à ce club, le site souhaite apporter aux TPE les mêmes services qu’aux grandes entreprises, en plus souple et plus adapté..

Apporter le même niveau de service à une TPE qu’à une grande entreprise

Le dirigeant d’une grande entreprise est souvent entouré d’un ou plusieurs consultants extérieurs, d’outils et progiciels très coûteux, de services avec des managers spécialisés par domaine. Le chef d’une grande entreprise peut compter sur ses collaborateurs pour veiller à la satisfaction de ses clients. Néanmoins, le dirigeant de TPE doit tout contrôler: son métier, sa prospection, la gestion de son entreprise, l’administration, les salariés… « Depuis 7 ans, nous travaillons pour fournir aux TPE le même niveau de service que les grandes entreprises » indique Odile Olivier. Nouveau site web, accès en un clic au conseil extérieur avec un annuaire de 2000 professionnels, 6000 fiches pratiques sur l’entreprise en accès libre, un chat pour répondre aux questions urgentes, ainsi  qu’un service « SOS PATRONS » pour les urgences, sont autant de services proposés gratuitement aux TPE par le club P-E.net.  » Sans rien dépenser, le créateur ou le dirigeant de TPE dispose désormais d’un lieu où l’on répond à toutes ses questions. Il est très difficile d’être spécialiste dans tous les domaines, et beaucoup ont déjà le réflexe de se faire accompagner » ajoute Odile Olivier.

L’entrepreneur indique ses priorités dans le Club P-E.net

Il y a quelques semaines, le « Club P-E.net » est né avec une vocation claire : fournir encore plus de services et d’outils pratiques et adaptés à la petite entreprise. Il compte déjà 5300 membres. On y trouve, sous forme de modules, un calculateur de TVA (Toolbox), un outil d’analyse de marché (Snapmarket), des résultats de sondage sur l’entreprise qui permettent de se comparer (Compare), des guides et même la météo (très utile pour les couvreurs par exemple).

 » Régulièrement, nous mettons de nouveaux outils à disposition des dirigeants. Les membres du Club participent d’ailleurs à leur lancement en indiquant leurs souhaits et priorités. Le prochain outil sera disponible au mois de mai et servira à optimiser la rémunération du dirigeant et à choisir le statut juridique et social le plus adapté. Ce sont pour l’instant des outils que nous développons soit directement chez P-E.net soit en nous appuyant sur des partenaires. Nous oeuvrons pour que tous les chefs d’entreprise s’inscrivent au Club P-E.net dans le but de créer le plus grand « club d’entrepreneurs » de France. » ajoute Odile Olivier.

Février 2015 : Le marché du consulting en France pourrait exploser dans les prochaines années

Selon les études, le nombre de consultants indépendants a doublé voire triplé ces 10 dernières années, atteignant le chiffre de 96 500 structures de conseil en 2011, selon l’Insee. N’ayant d’autre choix que de se lancer en indépendant et prodiguer un savoir et une expertise à d’autres entrepreneurs, bon nombre d’anciens cadres se lancent dans cette voie. Hélas, selon le Syntec, au moins 50% des consultants stoppent leur activité dans la première année de leur démarrage. Malgré ce constat d’échec, et en observant le marché actuel de la petite entreprise, le marché du conseil en France pourrait bien exploser dans les prochaines années et répondre à un double enjeu économique. Décryptage…

Un potentiel « énorme »

Les 2,5 millions d’entreprises françaises sont composées essentiellement de petites entreprises : 96,8% d’entre elles ont entre 0 et 19 salariés*. Et pourtant, elles sont très peu accompagnées, les structures de conseil étant surtout basées à Paris (l’Ile-de-France concentre 62,2% des emplois du conseil en 2007). Difficile pour un indépendant de lutter sur ce marché contre les cabinets d’audit et conseil importants (les « Big Four ») qui s’adressent aux grandes entreprises et PME importantes. Le potentiel de croissance du marché du conseil en France est donc ailleurs, vers le marché des TPE, et plutôt en province. Il est énorme, puisque, si l’on considère que tout entrepreneur devrait être accompagné un jour ou l’autre dans son activité (c’est ce que nous pensons), ce sont plusieurs centaines de milliers voire millions de coachs et autres consultants qui manquent à l’appel. A la clé, un double enjeu économique : si les anciens cadres seniors réussissaient à pérenniser leur activité, c’est le marché de l’emploi des seniors et le marché des TPE qui pourraient en bénéficier. Reste à appliquer la bonne méthode pour faire se rejoindre ces deux mondes.

Les consultants doivent s’adapter à de nouveaux interlocuteurs

Ne dit-on pas que le succès d’un produit ou d’un service tient au fait qu’il répond parfaitement à une demande du marché ? Or, les consultants répondent-ils parfaitement à une demande du marché ? Concernant la TPE, typiquement non. Bon nombre de professionnels du conseil se « cassent les dents » sur un marché qu’ils appréhendent mal et dont ils ne connaissent pas les codes. Chez Petite-Entreprise.net, nous échangeons tous les jours avec des consultants et des dirigeants de TPE, et nous faisons toujours le même constat : il faut presque « enseigner » la langue du créateur d’entreprise ou du dirigeant d’une petite TPE au consultant pour qu’il réussisse à se faire comprendre. Pour réussir, le consultant devra faire table rase de ce qu’il sait, des méthodes appliquées dans son « ancien monde », être à l’écoute du marché, une écoute active, au contact physique des dirigeants de TPE sans leur vendre quoi que ce soit (dans un premier temps), cerner leurs objectifs, observer leur comportement en management, commercial, administratif, comprendre leur environnement social et familial,  leurs points forts, leurs points faibles, etc. Si le consultant indépendant affiche un réel engagement à aider les dirigeants de TPE, alors les clés sont toutes à sa portée.

Les 10 clés pour signer des missions de conseil aux dirigeants de TPE

En 8 ans, Petite-Entreprise.net a répondu à plus de 90 000 demandes de chefs d’entreprise, le plus souvent en mettant en relation des chefs d’entreprise avec un « Correspondant Pe.net », professionnel du conseil. Nous nous sentons donc légitimes à prodiguer ces 10 conseils aux consultants qui souhaitent aborder le marché de la petite entreprise et, au-delà, répondre concrètement aux enjeux d’emploi et de croissance que nous avons évoqués : donner une vraie « seconde carrière » aux cadres senior et accompagner les TPE dans leur développement.

1) Être pluridisciplinaire : le dirigeant de TPE a besoin d’un seul conseiller d’entreprise ou un seul interlocuteur, pas d’une multitude d’experts autour de lui.

2) Proposer des prestations précises avec un nom, un début, une fin, un prix, un support : le dirigeant de TPE achète une solution, pas un nombre d’heures.

3) Valoriser ses missions de conseil en termes de ROI (retour sur investissement) : le dirigeant de TPE cherche au final, même pour une prestation de management RH, du chiffre d’affaires et de la rentabilité.

4) Être réactif, bref et direct : le dirigeant de TPE n’a pas le temps, il n’anticipe pas, il a la « tête dans le guidon ».

5) Proposer un plan d’action précis avec des résultats : le dirigeant de TPE a besoin de concret, pas de théorie.

6) Écouter le besoin réel exprimé par le dirigeant : le dirigeant de TPE achète une réponse à son besoin, pas une expertise.

7) Faciliter la vie de vos clients, proposer du « clé en main » : le dirigeant de TPE déteste la paperasse et parfois, n’a pas d’assistant(e) ni de secrétaire.

8) Parlez en termes de solution, pas de méthode : le dirigeant achète une solution, pas une formation, ni un coaching, ni un accompagnement et encore moins du consulting.

9) Rester humble et abordable : un dirigeant de TPE a besoin de comprendre ce qu’il achète. C’est une « personne de confiance » qu’il achète, pas un « consultant» pour se faire mousser…

10) Rester un chef d’entreprise avant tout : un dirigeant de TPE accorde son respect et sa confiance à quelqu’un qui aura l’attitude d’un patron, qui saura lui parler avec franchise, se faire payer et facturer au juste prix.

*Source Insee-Sirene : 2,5 millions d’entreprises en France, hors agriculture, services financiers et administration

Décryptage d’Odile Olivier, dirigeante de Petite-Entreprise.net

Février 2015 : Le crowdfunding est un excellent moyen de rapprocher les français de l'entreprise

Si le crowdfunding ne saurait remplacer à court terme les voies de financement habituelles des petites entreprises, il représente pour l’entrepreneur un bon moyen de tester son projet et, d’un point de vue sociétal, de rapprocher le monde de l’entreprise du grand public.

Le crowdfunding (« financement par la foule » en anglais), appelé également financement participatif, permet à des particuliers de financer des porteurs de projets par l’intermédiaire d’une plateforme Internet. A l’occasion de la parution du sondage « Les français, leurs entrepreneurs et le crowdfounding » mené par l’Institut Think et co-commanditée par Le salon des Entrepreneurs, Lendopolis et l’Ordre des Experts Comptables, PetiteEntreprise.net s’est penché sur ce phénomène encore récent mais dont le développement semble en faire un complément de plus en plus crédible aux techniques de financement traditionnelles des TPE/PME.

Coté investisseur, le crowdfunding répond à des motivations différentes

Chez Petite-Entreprise.net, nous avons encore très peu de demandes concernant le crowdfunding, même si le terme est désormais connu des dirigeants de TPE (76% selon l’étude menée par l’institut Think). Ce que nous voyons tous les jours, c’est que les dirigeants de TPE maîtrisent de mieux en mieux Internet et concèdent, pour les plus timorés, qu’Internet est devenu incontournable dans leur business. De plus en plus, les entrepreneurs s’y intéresseront, mais pour l’heure, cela ne viendra pas remplacer votre banque, où vous avez un seul interlocuteur à convaincre, et pas des dizaines de petits investisseurs (1000€ d’investissement par personne au maximum aujourd’hui). Par nature, le crowdfunding s’adresse à tous, et donc à tous les types de motivation d’investir. Dimensions sociale, de proximité, ou simplement pécuniaire, les raisons d’investir sont donc très diverses, avec une conséquence majeure : il faudra couvrir toutes ces dimensions si vous ne voulez pas vous « couper » d’une grande partie de vos investisseurs potentiels.

Un excellent moyen de promouvoir l’esprit d’entreprise

Nous pensons en revanche qu’à court terme, le crowdfunding a un bel avenir pour rapprocher le monde des TPE de celui des particuliers. Pourquoi ? Parce que là plus qu’ailleurs, les rôles sont inversés : ce n’est plus le banquier qui vous dit où mettre votre argent, c’est vous qui décidez du projet que vous voulez soutenir, avec toute l’implication personnelle que cela suscite. C’est aussi un excellent moyen pour le créateur d’entreprise de tester son projet et de ne plus avoir peur qu’on « lui vole son idée », un réflexe latin qui nous éloigne de la mentalité anglo-saxonne, plus ouverte de ce point de vue. Des projets qui s’ouvrent, des investisseurs qui donnent du sens à leur investissement, de quoi rapprocher et faire souffler un vent nouveau sur le couple particulier-entreprise. Mais il faudra du temps et de belles « success stories » pour faire du crowdfunding une alternative au financement des entreprises, et non simplement un coup de pouce à l’activité.

En conclusion, si le label RGE répond  aujourd’hui à un consensus sur la nécessité de promouvoir les travaux  garants de l’environnement, l’obligation d’obtenir ce label est plutôt  mal vécue par les TPE, qui réagissent pour beaucoup de façon épidermique  à toute nouvelle contrainte administrative. D’autant que si, à terme,  la plupart des artisans deviennent RGE, où sera l’avantage de détenir un  tel label ?

Octobre 2014 : Petite-Entreprise.net lance SOS PATRON : le premier numéro d'urgence pour répondre aux questions des petites entreprises

Chaque jour, les patrons de petites entreprises sont confrontés à de nombreuses problématiques qui ne peuvent souvent pas attendre : financement, organisation, législation, gestion quotidienne… Souvent dépassés voire isolés, ils ne savent pas nécessairement vers qui se tourner. Pour répondre à ces tracas quotidiens, le portail spécialiste du conseil aux TPE-PME, Petite-Entreprise.net, lance le premier numéro de téléphone d’urgence qui leur est spécialement dédié : SOS PATRON.

SOS PATRON, la ligne dédiée à toutes les questions que se posent les entrepreneurs

Les petits patrons ont maintenant leur numéro d’urgence du lundi au vendredi, de 8h00 à 17h. Un système unique en France qui leur permet, en composant le 0899 100 200*, d’être mis en relation avec un professionnel qui va immédiatement recueillir la demande et orienter le chef d’entreprise vers le bon interlocuteur parmi les 2100 experts inscrits sur le répertoire de Petite-Entreprise.net. Une sorte de « ligne dédiée aux petits patrons », comme l’explique Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net. Une première réponse que Petite-Entreprise.net propose de prolonger grâce à l’accompagnement d’un expert qui intervient sur le terrain dans les 48 heures. Ce premier échange permet ainsi de réaliser un état des lieux de l’entreprise et de trouver des solutions immédiates pour le dirigeant. En dehors du coût de la communication, le service SOS Patron et la mise en relation avec le bon professionnel est totalement gratuit.  »
*1,35€ par appel puis 0,34€ la minute

« Au mois de septembre, nous avons reçu près de 2000 demandes si l’on compte les demandes par Internet. Un numéro surtaxé est une manière de responsabiliser le créateur ou le dirigeant et d’éviter d’encombrer la ligne avec des appels inutiles, toujours dans l’objectif de pouvoir répondre de façon qualitative à tout le monde. Avec ce service téléphonique, nous souhaitons une fois de plus nous rapprocher au plus près des problématiques auxquelles sont confrontées les petites entreprises françaises et leur apporter un éclairage adéquat pour les aider, de la création à la session de leur entreprise. C’est un prolongement de ce que nous le faisons avec notre portail Petite-Entreprise.net, depuis 2007 », déclare Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net.

SOS PATRON : parce que les dirigeants de petites entreprises se retrouvent souvent islés

Les TPE représentent aujourd’hui 96 % des entreprises françaises mais  elles sont pourtant fragiles. Selon l’INSEE, une sur trois ferme au bout de 3 ans, et 50% au bout de 5 ans. En analysant les demandes des chefs d’entreprise, Petite-Entreprise.net indique que 30% des questions concernent le soutien à la création d’entreprise (business plan, aide à la création, recherche de partenaires), 30% sont des demandes d’entreprise en difficultés (recherche de financement, trésorerie…) et le dernier tiers est plus large (administratif, réglementation, recherche de nouveaux clients…). Des problèmes qui peuvent être anticipés ou résolus grâce à un accompagnement sur-mesure et quotidien. Au-delà d’agir comme un pansement pour les petites entreprises, SOS PATRON a pour ambition d’apporter une visibilité aux dirigeants qui peuvent ainsi trouver l’appui d’un réseau de professionnels qualifiés partout en France.

SOS PATRON lancé officiellement lors du salon i-Novia

En tant que partenaire « gold » du Salon i-Novia, Petite-Entreprise.net profite de cette exposition pour lancer officiellement SOS PATRON en plein coeur du salon, qui aura lieu les 8 et 9 octobre prochains, à Strasbourg (Parc des Expositions – Pavillon K). Pour son nouveau service SOS PATRON, Petite-Entreprise.net a obtenu le label i-Novia, le label « des entreprises qui innovent ». Le salon i-Novia est le premier évènement dédié à l’innovation B2B en Alsace, et le second après Paris au plan national.

Octobre 2014 : Le nombre d'entreprises en difficulté ne diminue pas selon le baromètre Altares - des pistes d'explications !

Malgré l’ouverture du marché sur l’accompagnement des PME et surtout des petites structures, le nombre d’entreprises en difficulté ne diminue pas. Au 3ème trimestre 2014, le baromètre Altares indique que les TPE de 1 à 2 salariés subissent 30% de défaillances en plus par rapport à la même période de l’an passé.

Face à cette dégringolade, Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net apporte un oeil avisé sur la situation.
Ces petites entreprises travaillent en flux tendu, n’anticipent ni les charges, ni une baisse soudaine d’activité qui impacte directement leur trésorerie. Les banques n’ont pas la réactivité requise et sont de plus en plus frileuses à apporter leur soutien aux entreprises en difficultés. Leur rôle se cantonne de plus en plus à miser sur les créateurs (avec de bonnes garanties) et le développement d’entreprises plus solides.A ce titre les PME sont moins touchées que les TPE dans le baromètre Altares.

Les dirigeants de TPE manquent de temps mais aussi de compétences pour prendre de la hauteur et mener une réflexion sur la refonte de leur modèle commercial, l’ouverture à des marchés complémentaires (diversification) et la fidélisation de leurs clients qui sont de plus en plus volatiles. Les dirigeants misent encore trop peu sur la communication, l’utilisation du web comme vecteur de croissance (vente dématérialisée), les nouvelles technologies ou des ressources complémentaires qui leur permettraient de traverser cette période difficile.

Bien entendu de nombreuses solutions existent. La première d’entres elles peut être : la réactivité. Conduire une entreprise au succès c’est comme conduire une voiture à bonne destination. Il faut anticiper les virages, avec un tableau de bord qui nous donne la vitesse et l’heure à laquelle on va arriver. Un simple problème mécanique peut casser le moteur, une roue crevée et l’on va dans le décor. Il est nécessaire qu’aujourd’hui le dirigeant sache à tout moment comment va son entreprise et puisse anticiper et réagir à tout moment. Le bon accompagnement est aussi une solution à prendre en compte si l’on considère que les entreprises bien accompagnées ont près de 30% de chances supplémentaires de rester pérenne. En effet, 66 % des entreprises accompagnées sont encore en activité cinq ans après leur création, contre 52 % sans accompagnement (INSEE, enquête Sine 2007). Le monde du conseil est très diversifié, et vous avez des professionnels qui connaissent bien la petite entreprise (nous savons de quoi nous parlons, il y a en 2000 chez nous). Il faut que le dirigeant prenne conscience qu’il n’est pas compétent en tout. L’apport d’un oeil extérieur est parfois indispensable pour gérer une situation notamment dans des domaines plus techniques comme l’optimisation des charges ou la recherche de financement. Un dirigeant accompagné à plus de chances de s’en sortir qu’un dirigeant seul.

Mai 2014 : Petite-Entreprise.net tire un premier bilan de son "Service Rapide" : 70 000 dirigeants rappelés dans l'heure.

En quelques années, Petite-Entreprise.net est devenu un site de référence pour les petites entreprises. Il doit notamment son succès à son « service rapide », qui répond en moins d’une heure à toute demande d’un chef d’entreprise ou d’un créateur en demande de conseil.

Unique en France, le « service rapide » de Petite-Entreprise.net tient la promesse de répondre en moins d’une heure à toute demande, question, problème liés à l’entreprise. Le dirigeant pose sa question, on le rappelle dans l’heure et au besoin, Petite-Entreprise.net lui propose l’intervention d’un Professionnel du Conseil (appelé « Correspondant local ») qui, en moins de 48h, viendra directement dans l’entreprise pour l’écouter et le conseiller. Ce déplacement n’est pas facturé au dirigeant, qui peut donc bénéficier gratuitement d’une écoute et d’un regard extérieur précieux sur sa situation.

« Nous avons créé ce service pour combler un manque important concernant les dirigeants de très petites entreprises, indique Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net. Les PME et ou les grandes entreprises font souvent appel au conseil extérieur, mais ce n’était pas le cas des artisans, commerçants ou TPE. Il fallait apporter une réponse adaptée, aussi bien en termes de proximité que de prix, tout en garantissant la qualité du conseil. C’est ce que nous avons fait avec le « service rapide ».

Les dirigeants plébiscitent l’approche, notamment ces 2 dernières années, où l’audience du site a doublé, passant de 1,5 millions en 2012 à 3 millions de visites en 2013. Les témoignages positifs affluent, comme celui de Stéphane, électricien qui souligne que « Personne n’avait le temps de me répondre : ni mon banquier, ni mon expert- comptable. C’est bien de savoir que d’autres personnes peuvent nous aider.» Jean, restaurateur ajoute : « J’avais vite besoin d’un business plan pour obtenir mon financement. J’ai rencontré un Correspondant local 2 jours seulement après ma demande sur le site. »

Des demandes diverses mais souvent urgentes

Les demandes recueillies par le « service rapide » sont diverses. Celles que l’on retrouve le plus souvent concernent la création d’entreprise (business plan, statuts, recherche de financement), les problèmes de trésorerie ou administratifs (documents unique de sécurité par exemple), des questions juridiques ou encore la recherche de nouveaux clients. Le « service rapide » prend tout son sens face aux nombreuses situations d’urgence que vivent les dirigeants de TPE. Dans son répertoire national des professionnels du conseil (regroupant plus de 2000 professionnels à ce jour), Petite-Entreprise.net a sélectionné 300 correspondants locaux qui interviennent sur le terrain directement pour les demandes du « service rapide ». Le profil des professionnels est varié : il est composé de consultants, experts-comptables, coaches, formateurs, avocats qui accompagnent chaque dirigeant pour créer, structurer, redresser l’entreprise. Les correspondants locaux Petite-Entreprise.net sont indépendants, spécialistes de la TPE, et rayonnent dans une zone inférieure à 100 km de distance, privilégiant ainsi le contact rapide et direct.

En 2014, le site Petite-Entreprise.net ambitionne d’atteindre les 5 millions de visites et dépasser les 100 000 demandes de dirigeants depuis sa création, en 2007.

Mars 2014 : Petite-Entreprise.net reçoit deux distinctions "innovation" pour son "Répertoire des Professionnels du Conseil"

Petite-Entreprise.net, 1er portail web offrant des services de conseil de proximité aux TPE, vient de lancer le Répertoire National des Professionnels du Conseil et de l’Accompagnement (RNPCA). Innovant dans sa démarche, ce répertoire a reçu deux distinctions : le label i-Novia et la qualification « Entreprise innovante » de BPI France.

L’objectif est simple et ambitieux : recenser tous les professionnels du Conseil en France et offrir une base qualifiée aux dirigeants de TPE-PME. L’approche de Petite-Entreprise.net est innovante : chaque consultant, expert-comptable ou coach d’entreprise est tout d’abord accueilli par téléphone, ce qui permet d’échanger avec ce dernier sur son activité. Il est ensuite répertorié selon ses spécialités (gestion, comptabilité, juridique, commercial, ressources humaines, pilotage d’entreprise, etc.) et sa zone géographique, pour faciliter la recherche. Mais le répertoire va plus loin : le professionnel peut accéder au rang de « Correspondant Petite-Entreprise.net » et disposer d’une plus grande visibilité, notamment grâce à la diffusion dans le répertoire de ses avis clients (avis clients contrôlés par un processus certifié ISO 20252 par l’organisme Opinion System).

Il dispose également d’un chat en ligne pour répondre aux questions des dirigeants. Tous ces services sont gratuits pour le dirigeant. Une fois le site visité, ce dernier se voit proposé sur demande une rencontre sous 48h* avec le professionnel du conseil, dans les locaux mêmes de l’entreprise.

Pour la création de ce répertoire intelligent, Valpolis, société éditrice du site, a reçu la qualification « Entreprise innovante » par BPI France et le label i-Novia, le label alsacien des « Entreprises qui innovent ».

Ce service a été reconnu pour son originalité, sa transparence et la manière innovante de qualifier les acteurs du conseil pour fournir le meilleur service au dirigeant de TPE, public principal du site Petite-Entreprise.net (3 millions de visites en 2013).

*lundi-vendredi, aux heures de bureau

À propos de Petite-Entreprise.net

Le site Petite-Entreprise. net est né en 2007 d’un constat et d’une  injustice. Le constat : les dirigeants de TPE cherchent de l’information  pour leur entreprise, certes, mais ont surtout besoin d’être  accompagnés physiquement pour mener à bien leur métier de chef  d’entreprise.
L’injustice : cet accompagnement est le plus souvent réservé aux grosses  PME, pas aux petites entreprises. L’ambition de petiteentreprise.net a  été claire dès le départ : créer ce lieu de référence, ce portail dans  lequel chaque dirigeant de TPE peut accéder à la
meilleure information et au meilleur conseil qui soit. Avec 3 millions  de visites en 2013, Petite-Entreprise.net est le premier portail offrant  des services et du conseil de proximité aux entrepreneurs. Côté  information, 6200* fiches pratiques en libre accès amènent une
information simple et concrète. Côté accompagnement, 1 200* professionnels du conseil permettent à Petite-Entreprise.net de
démocratiser le conseil auprès des créateurs et TPE. Chaque jour et  partout en France, des dizaines d’entrepreneurs rencontrent les  spécialistes envoyés par Petite-Entreprise.net. Désormais, le conseil  n’est plus réservé aux grosses entreprises. Valpolis, société éditrice  du site Petite-Entreprise.net, est portée par le Groupe Phosphore,  groupe alsacien au capital de 8,6 M€, ayant mis la petite entreprise au  centre de ses préoccupations.

Février 2014 : Petite-Entreprise.Net passe le cap des 3 000 000 de visites

Positionné comme « la première réponse apportée aux créateurs et dirigeants d’entreprise », le portail Petite-Entreprise.net connaît une forte croissance depuis ses débuts. Son audience a même doublé en un an pour atteindre en 2013 les 3 000 000 de visites. Un phénomène aussi lié à l’actualité des TPE-PME dans notre pays.

En quelques années, Petite-Entreprise.net est devenu un site de référence pour les entrepreneurs (artisans, commerçants, professions libérales, TPE). Tous les mois, le site recueille des milliers de demandes de chefs d’entreprise et propose une réponse pour chacune d’elles, jusqu’a  la possibilité de rencontrer un professionnel du conseil qui se déplace chez le dirigeant. Un service qui reste gratuit pour cette premie re visite : « Il est trèss important que dirigeants et professionnels du conseil se rencontrent d’abord, pour créer la confiance » indique Odile Olivier, a  la tête de de Petite-Entreprise.net depuis 7 ans.

La page d’accueil de Petite-Entreprise.net

Ce qui fait aussi le succès du service, c’est sans doute la réactivité et la proximité de la réponse : Petite-Entreprise.net répond en moins d’une heure aux demandes exprimées, et propose une solution immédiate et locale grâce a  un réseau de plus de 300 professionnels du conseil (appelés « Correspondants Petite-Entreprise.net ») présents nationalement. Pour ces Correspondants, c’est un excellent moyen d’élargir leur cliente le aux petites entreprises, dont beaucoup sont en demande de conseil et d’accompagnement.
Les demandes recueillies sur le site Petite-Entreprise.net forment une sorte de barome tre des besoins des TPE. En tête desquelles la recherche de financement ou d’amélioration de trésorerie, le business plan et le prévisionnel, le conseil en rentabilité ou l’accompagnement administratif (document unique de prévention des risques, etc.). Les demandes sont très diversifiées et vont jusqu’a  la gestion de personnel, au développement commercial ou l’accompagnement en comptabilité.

Retour sur une Success Story à la française

Lancé en 2007, le site Petite-Entreprise.net se focalise d’abord sur l’information destinée aux dirigeants de TPE. Tre s vite, pour répondre de façon qualitative aux nombreuses demandes postées sur le site par les chefs d’entreprise, l’équipe de Valpolis, Société éditrice de Petite- entreprise.net, demande le concours de professionnels du Conseil qu’elle recrute pour leurs compétences et leur proximité.
Le succe s est au rendez-vous et les demandes affluent, obligeant Valpolis a recruter encore plus de consultants, d’experts-comptables, de conseillers, de coachs dans tous les domaines de l’entreprise.
La suite, nous la connaissons : le réseau compte aujourd’hui plus de 300 consultants, plus de 70 000 entrepreneurs accompagnés, 20 000 créateurs suivis et une audience de 3 000 000 de visites par an.

Des résultats obtenus grâce notamment au respect de 3 valeurs essentielles : qualité, réactivité et proximité. Reconnu en tant que media, Petite-Entreprise.net se positionne aujourd’hui comme le premier site d’informations et de mise en relation entre les dirigeants de TPE et le monde du conseil en France.
« Nous sommes fiers de ce succès qui prouve à quel point les dirigeants de TPE ont besoin d’être accompagnés », confie Odile Olivier. « Notre objectif est d’atteindre rapidement les 5 millions de visites fin 2014 et que chaque dirigeant ait le réflexe Petite-Entreprise.net pour créer, développer, redresser et structurer son entreprise ».

À propos de Petite-Entreprise.net

Petite-Entreprise.net est un site lancé en 2007 par Valpolis, société  éditrice de solutions et d’outils pour le développement des petites entreprises. Le service propose a un public d’entrepreneurs plus de 6 000 fiches pratiques sur la vie de l’entreprise : rentabilité de l’entreprise, gestion du personnel, trésorerie et financement, comptabilité, développement commercial, marketing et communication… Le site met a  la disposition des chefs d’entreprise plus de 300 vitrines de professionnels du conseil et de l’accompagnement de la petite entreprise, qu’ils peuvent contacter a tout moment pour un premier rendez-vous de rencontre gratuit.

Octobre 2013 : Petite-Entreprise.Net présent au salon des Micro Entreprises de Paris

Petite-entreprise.net : 1er site de rencontre entre créateurs & dirigeants d’entreprise et les métiers du conseil en entreprise

Face au constat de solitude du chef d’entreprise, un groupe d’entrepreneurs alsaciens décide de mettre en ligne en 2007 un site d’informations destiné aux créateurs et dirigeants de petites entreprises : commerçants, artisans, professions libérales. Petite-entreprise.net devient rapidement le portail n°1 de mise en relation entre professionnels pour atteindre cette année 3 millions de visiteurs.

Un fonctionnement complet aussi efficace pour les entrepreneurs que pour les consultants, reposant sur 2 valeurs fortes : réactivité et proximité.

De nombreux avantages pour les créateurs et dirigeants d’entreprise

 

  • Un service rapide pour qu’ils puissent identifier gratuitement, et en moins de 48h, un conseiller dans leur région ou selon leur problématique, afin de trouver rapidement des solutions pour mener à bien leur projet.
  • Un réseau de 320 consultants et constitué de chefs d’entreprise, experts-comptables, formateurs et spécialistes de l’accompagnement pour couvrir des besoins en gestion, création d’entreprise, prévisionnel ou business plan, transmission d’entreprise, redressement d’entreprise, difficultés de trésorerie…
  • Une vaste boutique de services pour leur permettre de choisir directement une prestation simple et sur mesure (prévisionnel complet, formations, outils de pilotage…)
  • 6 000 fiches pratiques pour les aider et les conseiller au quotidien.
  • Une aide au développement commercial et à la communication pour les correspondants.

 

Ils bénéficient d’un espace personnalisé et d’un accès aux contacts entrants et étudiés par Petite-entreprise.net. Les besoins et problématiques des entrepreneurs sont définis au préalable, offrant ainsi une meilleure réactivité et leur permettant d’affiner leur réponse.

Les outils ne s’arrêtent pas là : référencement sur la 1ère page Google, vitrine Internet, campagnes E-mailing avec mise à disposition de modèles et/ou d’assistant en ligne pour la conception de leur propre campagne. Une base de données constituée des visiteurs inscrits leur est également proposée. Enfin, Petite-entreprise.net a mis en place une Démarche Qualité visant à développer la satisfaction clients ainsi que la recommandation grâce aux avis clients.

Partenaire média du Salon des Micro Entreprises
Stand R 21

Les interviews

Mars 2016 : Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net interviewée par Consulendo - "Dans une PME, les qualités d'une femme pourront mieux s'affirmer et être reconnues"

Les femmes restent minoritaires à la tête des entreprises. Et encore, elles sont plus nombreuses à diriger des PME/TPE que des grands groupes (on ne recense aucune femme PDG pour l’instant au sein du CAC 40) !.
Cependant, la création d’entreprises se féminise année après année : en 2015, les femmes ont créé 40 % des entreprises individuelles, après 38 % en 2014 et 2013, selon les derniers chiffres publiés par l’INSEE.
Nous avons demandé à Odile Olivier, dirigeante de Petite-Entreprise.net, un portail d’informations et de conseils pour les TPE (du groupe familial Phosphore), de nous confier son point de vue…

Réalisé par :  

Octobre 2015 : Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net Conférence - Le Conseil aux TPE : 3 000 000 clients potentiels !

96,8% des 3 millions d’entreprises françaises ont entre 0 et 19 salariés et elles sont très peu accompagnées. Le potentiel de croissance du marché du conseil en France s’oriente vers le marché des TPE. Si l’on considère que tout entrepreneur devrait être accompagné un jour ou l’autre dans son activité, ce sont plusieurs centaines de milliers – voire millions – de coachs et autres consultants qui manquent aujourd’hui à l’appel. Quelles sont les clés pour réussir sur ce marché ? Décryptage…

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Octobre 2015 : Odile Olivier interviewée par France Culture Salon des micro-entreprise 2015

Sur le Salon des micro-entreprises au Palais des Congrès à Paris, Odile Olivier, dirigeante de Petite-Entreprise.net, est interviewée par France Culture !

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Février 2015 : Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net Soirée des Entrepreneurs d'Alsace 2015

La chaîne Alsace 20 interviewe Odile OLIVIER, Dirigeante de Petite-Entreprise.net (Valpolis) lors de la Soirée des Entrepreneurs au Musée Wurth à Erstein. Soirée organisée par i-Novia, le Salon des Nouvelles Technologies et Entrepreneurs pour inaugurer sa 9ème édition en octobre 2015.

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Novembre 2014 : Odile Olivier - Salon i-Novia 2014

Lors du salon i-Novia du 8 au 9 octobre 2014, Odile OLIVIER, Dirigeante, présente Petite-Entreprise.net (Valpolis) aux Professionnels du Conseils.

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Octobre 2014 : Odile Olivier - Salon des micro-entreprises 2014

Odile Olivier, Dirigeante de Petite-Entreprise.net répond aux questions de Widoobiz sur le Salon des micro-entreprises 2014 au Palais des Congrès à Paris.

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