Vous souhaitez investir dans l’immobilier ? La SCPI et le crowdfunding sont les placements les plus appropriés. Ces solutions permettent d’accéder au marché immobilier, sans les contraintes de gestion (règlement des taxes, travaux…). Quelles sont leurs principales différences ?
Des solutions existent ! |
Grâce aux SCPI, les investisseurs se positionnent sur des marchés immobiliers porteurs (logistique, habitation, commerce, bureau…). Mais ils ne sont pas directement propriétaires des biens concernés.
Les sociétés de gestion choisissent, investissent et gèrent plusieurs immeubles pour le compte de leurs associés. Elles se chargent aussi de la sélection des locataires et de la collecte des loyers. Les épargnants perçoivent des dividendes proportionnels à leurs placements. Ce faisant, ils se constituent une épargne supplémentaire régulière et un patrimoine immobilier diversifié.
Voulez-vous vous constituer un capital en plaçant des montants moins importants que pour l’acquisition classique d’un logement ? Aimeriez-vous investir dans l’immobilier, sans vous soucier de la gestion des biens ? Tournez-vous vers les SCPI. Ces dernières s’adressent à tous les profils (professionnels et particuliers). Elles sont soumises à la fiscalité des revenus fonciers. Leurs rendements oscillent entre 3 et 5 %. Libre à vous d’y investir en démembrement, au comptant, à crédit ou en assurance-vie.
Le ticket d’entrée à une société de gestion est compris entre 180 et 1 000 euros. Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur la rentabilité, consultez le simulateur de projection d’investissement SCPI.
De leur côté, les frais d’entrée peuvent atteindre la barre de 12 %.
En 2021, le retour sur investissement moyen des SCPI était de 4,45 %.
Un des avantages des SCPI réside dans la mutualisation des risques. Avec une seule souscription, ces solutions donnent accès à différents types de biens immobiliers.
Encore appelé investissement participatif, le crowdfunding est un mode d’épargne récent. Il offre la possibilité de participer à une levée de fonds, pour des projets portés par des promoteurs et PME. Ceux-ci acquièrent un bien immobilier et le fractionnent en une multitude de titres de propriétés.
Les titres sont rachetés sous la forme d’une émission obligataire, sur une courte période (12 à 36 mois le plus souvent). Les investisseurs perçoivent des revenus mensuels convenus à l’avance et le remboursement de leur épargne au terme du contrat. Chacun sélectionne le produit auquel il veut souscrire.
Une « flat tax » de 30 % s’applique au financement participatif. La rentabilité se situe entre 7 et 10 %.
Comptez 100 à 2 000 euros pour accéder à un projet de crowdfunding. Notons que certaines solutions proposent des tickets à moins de 100 euros.
Contrairement à la SCPI, le financement participatif n’a pas de frais d’entrée.
Au premier semestre de 2021, l’investissement participatif a affiché une distribution moyenne de 9,2 %. Ce chiffre est deux fois supérieur à celui de la SCPI. Toutefois, les risques de pertes en capital sont plus élevés.
Avec le crowdfunding, chaque épargnant investit dans un seul produit immobilier à la fois. C’est à lui que revient la charge de diversifier ses placements entre de nombreux projets.
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