Pour garantir le bon développement de son entreprise, un dirigeant peut rapidement se confronter à des questions de financement. En effet, la réalisation de projets d’investissement, d’innovation ou de transition écologique exige un soutien financier adéquat. Mais comment optimiser les chances d’acquérir un financement ? Comment bien préparer cette étape cruciale ?
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La somme des fonds propres d’une entreprise est l’un des indicateurs financiers que vérifie un établissement bancaire. Plus cette première sera élevée, plus la société sera considérée comme solide. Ainsi, la banque sera plus disposée à accorder un financement.
Pour augmenter ces fonds, plusieurs options s’offrent aux PME et aux grands comptes. Par exemple, l’entreprise peut s’appuyer sur un investissement des dirigeants ou de leurs associés. D’autres outils existent également, à l’image du PPR (ou Prêt Participatif Relance).
Ce sont des crédits qui peuvent financer les projets d’investissements matériels et immatériels pour la relance d’une PME ou d’une grande entreprise. Ils permettent d’investir dans l’outil de production et le développement ou encore de financer la R&D.
Pour financer votre activité en préservant de la marge, vous avez la possibilité de vous orienter vers l’émission d’obligations simples. Ces titres de créances permettent de déterminer la somme minimale de chaque obligation ainsi que les modalités de versement des fonds (libération progressive ou libération intégrale dès le début). Le remboursement peut se dérouler à l’échéance ou chaque année, de manière régulière.
Il faut tout de même noter que l’obligation ne représente pas du capital, mais plutôt de la dette. De ce fait, votre investisseur n’est pas actionnaire, mais créancier.
Vous avez également les obligations convertibles qui permettent de transformer une obligation simple en action. Une option assez pertinente afin de financer et d’accompagner une entreprise avant son IEB (introduction en bourse), surtout qu’elle prévoit des prises de participation progressives dans le temps.
La levée de fonds propose par ailleurs une certaine forme de flexibilité, en particulier quand elle s’accompagne d’un pacte d’actionnaires. La convention offre une marge de manœuvre dans les relations entre collaborateurs : modalités de gouvernance de la structure, choix de liquidité des investisseurs, définition de la nature des droits et des titres…
Si vous désirez lever des fonds et faire croître votre activité tout en consolidant votre notoriété, l’IEB peut être une alternative très intéressante. En plus d’optimiser vos capacités de financement, elle favorise vos opérations de croissance externe, puisque les fonds levés aident à financer l’obtention de nouveaux marchés.
En outre, elle permet de prouver votre crédibilité. Effectivement, l’IEB impose de remplir un document d’enregistrement dans lequel votre structure doit faire preuve de transparence totale, aussi bien sur le plan financier que sur le plan juridique.
Ainsi donc, l’introduction en bourse est préconisée pour les sociétés ayant déjà prouvé l’efficacité de leur business plan. Il faut aussi qu’elles soient capables de décrire avec précision, à travers une note d’opération, l’usage qui sera fait des fonds, la valeur générée et à quelles échéances. Cela permet de mieux rassurer les investisseurs. L’introduction en bourse a l’avantage de vous apporter une grande visibilité auprès des collaborateurs et de nouveaux marchés : clients, fournisseurs ou encore banques.
En termes de levée de capitaux, les volontés stratégiques ainsi que les enjeux peuvent varier d’une société à une autre. Vous devez garder en tête que le financement de votre entreprise ne s’improvise pas. Il s’agit d’une démarche essentielle dans la vie de votre organisme qui pourra optimiser votre développement, tandis qu’un échec pourra le mettre en difficulté ou le fragiliser.
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