Entrepreneurs, comment financer votre activité ? Comment évaluer vos besoins de trésorerie ? Quel financement est le plus adapté à votre situation ? Quels en sont les mécanismes, les montants, le coût, la durée ? Quels sont les risques et les garanties les plus fréquemment demandées ?
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Le financement de l’activité est nécessaire lorsque les ressources propres à l’entreprise ne permettent pas de couvrir les besoins liés à l’exploitation (dettes fournisseurs, dettes fiscales, sociales…). La recherche de financement de l’activité passe par une évaluation du besoin de trésorerie et par la recherche de la solution de financement la plus appropriée.
Les autorisations sont en générales fixées pour une durée d’un an jusqu’à ce que le banquier puisse les réévaluer à la lecture du bilan et du prévisionnel.
Il permet de faire fonctionner le compte périodiquement en situation débitrice. En général, le banquier dépassera rarement 15 jours de chiffre d’affaires TTC pour du négoce et 1 mois pour de la production. Le coût est relativement élevé.
L’entreprise est créditée du montant du billet émis par la banque. Une date d’échéance est fixée au préalable et l’entreprise s’engage à rembourser avant cette date. Le coût est moins élevé que le découvert mais il est nécessaire de connaître précisément la durée du besoin.
C’est un peu le même principe que le billet de trésorerie mais essentiellement réservé aux entreprises justifiant d’une forte rentrée d’argent liée à une activité saisonnière ou cyclique.
Il faut demander à votre client (professionnel) qu’il émette lors de la réception de la facture un effet de commerce appelé « lettre de change » ou « billet à ordre ». Vous donnez ce document à votre banquier qui vous avance l’argent et le client pro rembourse le banquier directement. Le banquier sera toutefois vigilant à la qualité de votre client. Si ce dernier ne le paie pas, la banque vous débitera le montant crédité + les intérêts + la commission.
Un peu le même principe que l’escompte commercial mais le banquier avance l’argent dès la présentation de la facture professionnelle. Un peu plus cher que l’escompte mais aussi plus rare, peu de banque la pratique aujourd’hui.
Il s’agit toujours d’une avance sur facture mais gérée cette fois par une société d’affacturage et non par votre agence bancaire. Le coût de l’affacturage est relativement onéreux mais le service est complet (recouvrement, risque impayé…).
Il est possible de faire un crédit classique comme on le ferait pour acheter un véhicule utilitaire. On rembourse chaque mois une échéance fixe, le crédit est rarement accepté au dessus de 3-4 ans. Cependant les banquiers sont relativement frileux dans ce type d’accompagnement car il met le doigt sur un déséquilibre de votre structure financière qui ne peut être durable dans le temps.
Essentiellement connu par les entreprise du bâtiment (BTP). La banque s’engage à payer à la place de l’entreprise en cas de défaillance de cette dernière. L’entreprise cautionnée accélère les rentrées de fonds en faisant des factures de situation en fonction de l’avancement des travaux par exemple.
A SAVOIR : Les cautions personnelles sur le financement à court terme sont très fréquentes. Elles peuvent souvent être associées à des garanties réelles (nantissement, gage…) ou bien BPI FRANCE.
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