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Avant de vous lancer dans une reconversion professionnelle qui ne ferait que combler une impression d’ennui ou palier à un stress trop fréquent dans votre job actuel, il y a peut-être d’autres options à étudier. La reconversion doit être issue d’une réflexion faite autour des autres options que vous avez étudiées. Pour changer totalement d’orientation ou d’emploi, il faut, quoi qu’il en soit resté motivé, prêt à affronter les possibles difficultés.
Il est important de bien se connaitre. Il faut parfois se remettre en question, s’interroger sur le projet et son avancée. L’essentiel est de rester positif.
Le bilan de compétences : Après avoir fait le point sur soi, le bilan de compétences est un bon outil pour préciser vos compétences « métiers ». Plus qu’une introspection, c’est un moyen de connaitre les valeurs qui nous tiennent à cœur, les savoir-faire qu’on veut garder, les conditions de travail et les horaires, qui nous conviennent etc.
Votre projet de reconversion professionnelle doit reposer sur vos envies. Il est évident que vous ne ferez pas, dans cette deuxième activité professionnelle, ce que vous ne souhaitez plus faire. Listez-les avantages et les inconvénients de votre futur métier pour savoir où vous en êtes. Cette liste vous permet aussi de garder les idées claires.
Durant votre parcours professionnel, vous avez accumulé des connaissances et des compétences. Votre reconversion professionnelle peut aussi tenir compte de toutes ces savoir accumulés. Si vous savez établir un business plan, il sera indispensable d’en présenter un lors d’un entretien avec un banquier même si vous souhaitez vous reconvertir dans l’ébénisterie ou dans la mode. Vos compétences acquises seront certainement utiles dans votre futur métier.
En plus de vos compétences et des avantages / inconvénients, vous pourrez récapituler ce qui vous fait envie. Peut-être que vous avez passé 15 ans à exercer un métier qui ne vous motive plus. Faites le point sur ce que vous savez faire et comment l’utiliser pour en vivre. C’est parfois l’occasion de supprimer les contraintes que vous avez aujourd’hui.
De votre choix de réorientation professionnelle découlera forcément des questions, des problèmes … Pas de panique, il suffira d’anticiper les solutions à apporter. Evaluez les impacts psychologiques, matériels…
Comment savoir si votre futur métier répondra vraiment à vos attentes ? Testez ! Il n’existe pas de meilleurs moyens pour savoir si toutes les contraintes et les avantages de la profession vous plairont. Le terrain vous permettra de confronter vos attentes et la réalité. Donc, dans la mesure du possible, partagez l’expérience avec un professionnel déjà expérimenté.
Se reconvertir oui mais comment ? S’inscrire dans une formation (cours du soir ou continue) s’anticipe. Même s’il existe des formations qui peuvent se faire sur quelques semaines tout au long de l’année, il est tout de même important de prévoir les inscriptions pour septembre / octobre. Ces formations demandent en général du travail en complément d’une activité professionnelle, si toutefois vous êtes toujours salarié.
Dans l’avancée de votre projet de reconversion, vous vous rendrez compte que votre formation/ votre projet a un coût. Selon les cas, vous pourrez ou non, le supporter. Le financement des formations peut se réaliser grâce à des organismes : OPCA, Pôle Emploi, votre congé individuel de formation (CIF)… Bref, identifiez les acteurs « financement » possibles pour ne pas avoir à débourser trop d’argent. L’idée étant de ne pas démarrer votre reconversion sans un sous en poche ou déjà endetté.
Les échecs font partie des éventualités à envisager. Dans le processus de changement il est possible que les obstacles se multiplient et que l’impression d’être submergé arrive rapidement. Il arrive même que les candidats à la reconversion professionnelle baissent les bras. Le doute est permis. C’est un changement de cap, un changement de vie parfois radical. Il faut alors s’accrocher et se souvenir des raisons qui nous ont poussé à vouloir ce changement. Les moments positifs doivent prendre le dessus sur les aspects négatifs de ce changement.
ça y’est ! Vous avez complété votre formation, vous avez peut-être un diplôme entre vos mains, il est temps de se jeter à l’eau. Il va falloir : rédiger des lettres de motivation, démarcher des entreprises qui seraient intéressées par votre profil. Vous repartez de zéro ou presque …Vous passerez peut-être par la case « Pôle emploi », ou par les chambres consulaires (CMA, CCI) pour vos démarches de futur chef d’entreprise. Réunir, rédiger et envoyer les bons documents feront partie de vos occupations pour quelques semaines.
La réussite de votre reconversion professionnelle peut aussi passer par un coaching professionnel menée par des coachs connaissant les questions des futurs « reconvertis » soit parce qu’ils ont connus les mêmes questions soit parce qu’ils ont été formés par des professionnels du coaching pour accompagner le développement d’entreprise. Le coach que vous solliciterez connait votre histoire et suivra vos envies. Il saura répondre à vos questions et vous orientera vers les bonnes personnes ou les bonnes organisations (chambres consulaires, associations, entreprises) pour permettre votre développement.
Le travail du coach est aussi parfois de :
• Débroussailler le chemin de la reconversion que vous souhaitez emprunter
• Gérer votre stress face aux difficultés
• Vous aider à travailler sur vos faiblesses (communication corporelle, techniques, moyens, …)
• Saisir et aider aux choix des bonnes opportunités pour votre entreprise
Changer de métier n’est pas de tout repos. Quand on est motivé et sûr de ses choix, la reconversion professionnelle réussira. Pour d’autres, s’appuyer sur une franchise ou sur un réseau est parfois rassurant. Selon Odoxa, 76% des franchisés interrogés se sentent plus forts qu’un commerçant isolé.
D’une part, l’idée est toute trouvée. Nul besoin de faire une étude de marché, ou de chercher LE produit / ou le service qui fera recette.
D’autre part, le franchiseur propose en général un accompagnement complet : la formation et une assistance tout au long du contrat. La formation est réalisée dans un premier temps en formation continue pendant quelques jours ou quelques semaines. Et dans un second temps, sur le terrain dans une boutique déjà en place, par exemple. L’assistance peut être juridique (rédaction de contrats, assistance dans les litiges…), comptable (création ou relecture des prévisionnels, relecture des bilans…) ou encore RH (aide au recrutement, procédure de licenciement ou dispositions relatives aux congés ou congé maternité, arrêt maladie)
Enfin, dans un réseau de franchise, les membres (les autres franchisés), s’entre-aident. Les franchisés ne sont évidemment pas des concurrents (même s’ils doivent tout mettre en œuvre pour réaliser un objectif de C.A. fixé par la tête de réseau). Lorsque l’un des franchisés connait une période plus creuse, les autres membres se mobilisent pour le sortir d’une situation difficile.
(Sondage intitulé « Changer de métier ? La perception des français » a été réalisé sur un échantillon de 1001 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus entre le 17 et le 18 mai 2017. L’enquête annuelle de la franchise 2017 Banque Populaire / FFF / CSA a été réalisée par téléphone du 6 au 27 juin 2017, auprès d’un échantillon représentatif de 402 franchisés et 200 franchiseurs.)
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