On serait pourtant tenté de penser que l’activité se marie bien au statut. Pourtant, lancer une entreprise e-commerce lorsqu’on est auto-entrepreneur est une démarche plus compliquée que celle d’avoir une activité parallèle de consultant ou de prestataire de service. Ce qui n’enlève rien aux multiples avantages que peut offrir l’aventure du e-commerce. Explications.
* Avoir un chiffre d’affaire annuel inférieur à 80 000 euros
* Ne pas vouloir récupérer la TVA.
* Ne pas vouloir déduire ses frais de fonctionnement, investissements et pertes diverses
* Le montant des charges sociales (assurance maladie, CSG/RDS, assurance vieillesse…) sera de 12 % du chiffre d’affaire de votre e-commerce.
* Si vous optez pour le prélèvement libératoire, l’impôt sur le revenu de votre boutique de e-commerce sera de 1% et vous le payerez en même temps que votre forfait de charges sociales (cela fait donc un total de 13%)
* Si vous avez optez pour le prélèvement libératoire de l’impôt sur le revenu, vous êtes exonéré de taxes professionnelles pendant trois ans après la création de votre e-commerce.
* Si sur la période (le trimestre, plus tard mensuel) vous n’avez encaissé aucun revenu, vous ne paierez ni impôts, ni charges sociales.
Vous bénéficiez d’une comptabilité réduite et devez simplement tenir un livre d’achats et un de ventes.
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