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Les temps de crise imposent souvent à l’entreprise des baisses d’activité qui exigent des réductions de main d’oeuvre, parfois en masse.
Arriver à se séparer d’une partie de son personnel, tout en gardant les compétences clés de l’entreprise… Une équation que peu d’entrepreneurs réussissent. Ceux-là même qui survivent à la crise. Quelques idées pour réussir cette étape.
Si vous êtes encore aux 39 heures, il est temps de passer aux 35 heures ! Pour ce faire, un accord collectif dument signé est nécessaire. Il est également possible de recourir à d’autres méthodes, telles que la modulation ou l’annualisation du temps de travail.
Il s’agit de baisser la durée légale ou conventionnelle de travail afin de s’adapter à une baisse d’activité due à une crise financière. L’entreprise maintient l’emploi et reçoit l’avantage d’une « allocation spécifique de chômage partiel, à hauteur de 75 % du salaire versé – contre 60 % avant le mois de mai -, pour trois mois au minimum, sur un contingent de 800 heures par an par salarié, voire de 1 000 heures pour certains secteurs ».
Il s’agit de « prêter » un employé à une autre entreprise, le temps d’une durée préalablement déterminée. La procédure n’annule pas le contrat de travail du salarié puisqu’il revient, à l’issue de la durée déterminée, chez son employeur initial.
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