on en parle ! |
Des aides publiques sont mises en place pour permettre de réduire les coûts de prospection à l’étranger, mais il ne faut pas pour autant se lancer sans un minimum de réflexion. Plusieurs étapes de préparation sont à effectuer : – S’informer sur les opportunités de marchés – Se renseigner sur les règles du jeu fiscal et réglementaire, ainsi qu’au comportement d’affaires qui différent d’un pays à un autre. Une bonne façon d’aborder l’international pour une PME néo-exportatrice, c’est de jouer la carte collective. Cela permet de faire gagner beaucoup de temps et d’argent. La meilleure des solutions est de s’entourer de partenaires qui présentent des offres complémentaires aux vôtres. Deux avantages à cela : – Chacun peut jouer sur l’effet de taille : les portes des donneurs d’ordres et des distributeurs s’ouvriront plus facilement. – Permet en cas de bonne entente la présentation d’offres globales. Pour réussir au mieux ce challenge, des aides sont mises en place comme par exemple Ubifrance qui aide des entreprises dans leurs connaissances du marché (niveau d’activité, réglementations…) dans leur première approche (salon, prospection, VIE, etc…) et dans leur communication (plaquette, relation presse…). « Nous proposons de l’externalisation de ressources, avec un coût qui peut être jusqu’à dix fois inférieur à ce que cela reviendrait pour une PME qui déciderait d’y aller toute seule » assure Bruno Tessier, directeur ouest d’Ubifrance. Vincent Cordonnier Président de l’association accompagnement-pme www.accompagnement-pme.com
on en parle ! |
Vous y êtes presque. Laissez-nous vos coordonnées, nous vous appelons sous 48H !