Des solutions existent ! |
Suivant la taille d’une entreprise et sa forme juridique, la nomination d’un commissaire aux comptes peut être obligatoire. L’intervention d’un expert-comptable demeure, quant à elle et dans tous les cas de figure, une option laissée au bon jugement du chef d’entreprise. Ce dernier peut parfaitement ne pas mandater ce genre de spécialiste et choisir plutôt de former un employé interne à l’entreprise pour assumer les fonctions d’un expert-comptable.
C’est simple : l’un effectue des tâches ultérieurement contrôlées par l’autre. Plus concrètement, l’expert-comptable aide l’entreprise à établir ses déclarations dans le respect des lois tandis que le commissaire aux comptes vient contrôler si l’entreprise a respecté les textes. De plus, cette répartition des tâches fait que l’expert-comptable intervient au nom de l’entreprise et le commissaire aux comptes intervient au nom des partenaires de l’entreprise (généralement les associés ou actionnaires).
Dans le cadre de sa mission d’audit légal des comptes, le commissaire aux comptes a l’interdiction de réaliser les documents qu’il serait amené à contrôler.
D’où le très possible conflit d’intérêt.
Des solutions existent ! |
Vous y êtes presque. Laissez-nous vos coordonnées, nous vous appelons sous 48H !