Au vu du caractère formel de la mission d’audit financier, il en découle une nécessaire normalisation des méthodes, des techniques et des outils en matière d’audit. Cette normalisation passe par la structure en charge de l’audit, ainsi que par les normes externes.
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Ces normes son inhérentes à l’auditeur et au cabinet d’audit, elles concernent les aptitudes et les compétences du chargé de la mission d’audit mais aussi son indépendance, la qualité de son travail et le secret professionnel.
C’est ainsi que l’auditeur est tenu par les textes de présenter les qualifications requises pour mener à bien sa mission d’audit. Il doit compléter et mettre à jour régulièrement ses connaissances. Il est aussi en charge de la qualité du travail fourni par ses collaborateurs.
L’auditeur doit également être et paraître indépendant et cela selon les lois, les règlements et la déontologie, qui veulent que l’auditeur garde le secret professionnel.
L’éthique professionnelle implique le respect des devoirs et obligations envers le public, la profession, » les clients « , les membres de la société, le tiers dont dépend l’exécution des missions.
La mission d’audit a besoin d’être orientée, pour cela l’auditeur se doit d’avoir une connaissance globale de l’entreprise. Cette orientation permettra une identification des risques qui pourraient influer sur les comptes.
C’est ainsi que cette approche qu’on pourrait qualifier de préventive conduit à :
L’auditeur doit aussi effectuer une appréciation du contrôle interne et cela quelle que soit la taille de l’entreprise. Cette appréciation passe par la déduction d’un programme de contrôle des comptes adapté. La déduction se fait à partir de l’étude menée par l’auditeur, laquelle porte sur une évaluation des systèmes significatifs selon l’auditeur ainsi que les risques d’erreurs.
Pour délivrer sa certification, l’auditeur doit disposer d’éléments probants lui permettant de fonder une assurance raisonnable indispensable à la certification. Pour cela, l’auditeur peut utiliser diverses techniques qui sont :
Si la certification constitue un engagement personnel, l’audit est un travail d’équipe. Cependant il est impératif que le commissaire aux comptes supervise et examine les travaux délégués, car l’auditeur ne peut déléguer tous ses pouvoirs.
La documentation lors de l’audit est une norme à part entière et surtout une feuille de route pour l’auditeur. Des dossiers conformes permettent l’orientation et la maîtrise de la mission et constituent un preuve de l’accomplissement des diligences.
Le commissaire aux comptes dispose également des travaux de contrôle effectués par :
Ces normes de travail sont applicables quelle que soit la taille de l’entreprise. Cependant l’approche et les méthodes peuvent être adaptées selon l’organisation.
Etant donné que le rapport est destiné à être utilisé par les utilisateurs de l’information financière externe, on parlera de normes externes, car elles doivent s’adapter à un large public.
L’auditeur ou commissaire au compte s’engage dans son rapport à donner une image précise et surtout juste de l’entreprise.
Ce fameux rapport doit être fidèle à la situation de l’entreprise et conforme aux normes d’élaborations des rapports d’audit financier. En effet, il doit comporter :
Les normes de l’audit financier constituent un véritable encadrement pour le travail de l’auditeur. En effet, bien appréhendées elle représentent une feuille de route dont le commissaire au compte ne saurait se passer.
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