Si vous êtes créateur ou repreneur d’entreprise, une des questions cruciales pour le démarrage de l’activité n’est autre que le financement. En période d’austérité et de crise économique, mettre la main sur un partenaire financier pour lancer sa TPE ou sa PME n’est pas chose facile. Des solutions financières existent tout de même et il importe de faire son choix que ce soit pour un crédit bancaire ou toute forme de crédit d’honneur. Quelles sont donc les différentes alternatives possibles ?
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Une bonne partie des crédits bancaires accordés ainsi que les prêts des organismes investisseurs sont destinés aux entreprises et notamment les PME. Ce qu’il faut cependant savoir, c’est qu’en règle générale, les banques ne s’engagent à combler que 70% des besoins financiers, des besoins en fonds de roulement ou des investissements physiques. Les banques limitent également les prêts à long et moyen terme à hauteur de la mise de départ de l’entrepreneur imposant de la sorte des fonds propres minimum à l’emprunt escompté. Ceci oblige le créateur d’entreprise à disposer de capitaux initiaux personnels pour financer certaines dépenses.
Le capital risque est une autre alternative de financement envisageable et qui consiste en une contribution minoritaire dans une société par un organisme spécialisé et ce pour une durée définie. Il n’est cependant réservé qu’à une certaine catégorie de sociétés scrupuleusement sélectionnées. Les sociétés de capital risque se rémunèrent des plus values de la revente des titres souscrits.
L’autre forme d’investissement privé émane des investissements impliquant l’ouverture des capitaux de l’entreprise à des business angels ou des investisseurs privés. Cette forme d’investissement est encouragée par l’état qui propose des réductions d’impôt sur le revenu et d’impôt sur la fortune en cas de souscription en numéraire au capital d’une PME.
Cette alternative de financement n’est pas une aide mais une solution permettant de devenir propriétaire d’un bien loué une fois arrivé à échéance. Qu’il soit mobilier ou immobilier, le bien professionnel peut être potentiellement acheté selon un prix fixé à l’avance et ce en tenant compte des loyers déjà versés. Cette solution permet de ne pas faire apparaître le bien financé au bilan de l’entreprise.
Les collectivités locales, les fondations et l’état consacrent des subventions et aides financières aux créateurs d’entreprise. Ces aides ne peuvent cependant pas constituer la seule et unique source de financement de tous les besoins d’une nouvelle entreprise. Ces subventions sont aussi soumises à certaines conditions d’obtention en termes d’exigence d’embauche et d’investissement.
Ainsi, il apparaît clair qu’une entreprise naissante peut aspirer à diverses types d’aides financières à condition qu’elle dispose de certains fonds de départ.
Et vous, comment avez-vous financé le lancement de votre PME ?
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