Pour les PME le choix de la délocalisation est loin d’être automatique. En effet celles-ci sont autrement plus investies dans les marchés locaux que ne le sont les grandes entreprises. De fait, elles sont soumises aux contraintes qu’impose leur mode de gestion très axé sur le marché national et fortement ancré dans les rouages de l’économie locale.
Les PME se retrouvent ainsi face à un dilemme : d’une part, ce sont des entreprises très investies dans le territoire où elles sont implantées (proximité des partenaires, poids dans le marché de l’emploi…) et d’autre part, elles doivent répondre aux exigences de plus en plus importantes des clients ( prix compétitif et service de qualité).
Ainsi le chef de PME doit bien étudier toutes les conséquences de la délocalisation sur société avant de lancer la procédure.
Le premier point à examiner est celui de la réduction de frais. C’est en effet le principal motif de la délocalisation des sociétés dans les pays développés. Et pour cause, la délocalisation assure un service de qualité à moindres frais permettant l’instauration de tarifs compétitifs sur le marché.
D’un autre côté, cette opération présente beaucoup de risques qu’il faut prendre en compte, tels que :
Ainsi, le choix de la délocalisation doit être le fruit d’une mûre réflexion qui devra prendre en compte tous les paramètres.
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