Le but d’une démarche qualité totale vise à frôler la perfection absolue du produit. Cette méthode de gestion émane historiquement du Japon, mais ce concept a connu son essor avec le Toyotisme et sa logique de zéro défaut.
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La réalisation d’un tel projet au sein d’une firme, est sans aucun doute très bénéfique car il permet de réduire considérablement, voire d’éliminer tous les coûts se liant au gaspillage ainsi qu’aux pièces défectueuses.
Cependant, pour y parvenir, il faut une implication totale de toutes les chaînes de travail. Une seule erreur ou un manque d’attention ou d’engagement, peut rompre le succès de la mission. En effet, à l’encontre du management traditionnel qui accepte quelques dysfonctionnements à modifier et à corriger, ici l’erreur est inadmissible. L’entreprise n’a pas à dépenser pour palier les défauts mais plutôt pour innover et passer d’une assurance de la qualité vers une amélioration continue de la qualité.
De même, une entreprise qui achève ses objectifs en termes de management de la qualité sera reconnue par sa clientèle et approuvée par les organismes de normalisation et de certification. Aboutir à de tels résultats, est synonyme de satisfaction de la clientèle et même une garantie de leur fidélité.
Néanmoins, le chemin est dur, car pour façonner un tel système, c’est toute une culture à enraciner avec un management se basant sur les cercles de qualité, le dialogue et les consensus pour éluder les problèmes, un suivi continu de la satisfaction des clients mais surtout une cohésion et une collaboration entre tous les employés.
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