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Les distorsions entre l’action publique et le développement des externalités
Publié le 7 avril 2015
Les résultats de plusieurs études en science économique stipulent que l’action publique a un coût. En effet, ses coûts de transactions sont trop élevés. Et, ils peuvent empêcher la compensation d’externalité, et même ruiner le bénéfice de l’intervention publique.
Le préjudice que fait supporter une externalité négative est souvent difficile à évaluer. En effet, lorsque la partie lésée est bien identifiée et ses droits bien définis, il lui appartient légitimement de déterminer le dédommagement qu’elle souhaite de l’entreprise pour tolérer l’externalité négative dans le cadre d’une négociation ; en revanche, en l’absence de propriétaire, il est difficile d’être dédommagé.
Ce problème renvoie à la définition d’une valeur d’échange pour tout bien et service, pour pouvoir évaluer les effets externes inhérents à leur production, à leur distribution et à leur consommation.
Celle-ci comprend :
Une valeur d’usage
Une valeur d’option
Une valeur intrinsèque, laquelle est constituée d’une valeur de legs, qui n’est autre que l’utilité de transmettre une valeur aux générations futures
Une valeur écologique : cette valeur contribue par exemple à maintenir sain l’écosystème
Une valeur d’existence qu’il nous est impossible d’apprécier.
Ces deux dernières valeurs sont difficiles à évaluer. Il est donc impensable de juger du coût de l’externalité qu’elles peuvent représenter.
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