17666 --- Qu’elle soit le fruit d’une conjoncture économique défavorable ou qu’elle résulte d’une mauvaise gestion de l’entreprise, la crise est toujours un cap difficile à franchir, autant pour les salariés que pour l’employeur, responsable de la survie de son entreprise. En effet, souvent imprévue (quoi que prévisible de par ses signes avant-coureurs qu’il faut savoir décrypter), la crise peut mettre à rude épreuve les finances de l’entreprise et la contraindre à des restrictions budgétaires impo
Qu’elle soit le fruit d’une conjoncture économique défavorable ou qu’elle résulte d’une mauvaise gestion de l’entreprise, la crise est toujours un cap difficile à franchir, autant pour les salariés que pour l’employeur, responsable de la survie de son entreprise.
En effet, souvent imprévue (quoi que prévisible de par ses signes avant-coureurs qu’il faut savoir décrypter), la crise peut mettre à rude épreuve les finances de l’entreprise et la contraindre à des restrictions budgétaires importantes.
Or, ces restrictions budgétaires riment, la plupart du temps, avec une diminution des charges sociales, limitant l’effectif de l’entreprise au strict nécessaire.
Mais lorsque la période de vaches maigres coïncide avec les demandes d’augmentation de collaborateurs méritants, le dirigeant se retrouve dans une situation délicate où il faut manœuvrer avec beaucoup d’habilité et de tact, pour ne pas perdre les jeunes talents ou le savoir-faire confirmé des collaborateurs les plus anciens.
A cet égard, beaucoup de managers préfèrent trouver des compromis, plus ou moins satisfaisants, pour préserver le capital humain qui doit assurer la reprise de l’entreprise et contribuer à son essor, après la crise.
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