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A l’heure de la mondialisation, il est de plus en plus fréquent d’avoir affaire à des entreprises dont l’activité est divisée entre deux pays, voire plus, et chapeautée par un troisième. Ce schéma multiculturel se répand pour des raisons matérielles, avant tout, dans la mesure où les entreprises n’hésitent plus à externaliser pour diminuer leur frais de production et proposer des produits ou services à des prix toujours plus concurrentiels à leurs clients.
C’est ainsi, que l’on a vu apparaître un nouveau type de management : le management multiculturel. De prime abord, il est aisé de comprendre que ce type de management est encore plus complexe.
En effet, à la difficulté initiale du management classique – à savoir, la gestion d’une équipe – s’ajoute celle de la multitude des nationalités qui implique, à son tour, une pluralité de cultures.
Or, qui dit culture, dit différence. Et la différence est loin de faciliter la tâche du manager multiculturel, bien au contraire, elle engendre des divergences.
En fait, il serait plus approprié de parler de « différences » puisqu’elles se manifestent à plusieurs niveaux et notamment :
Le management multiculturel doit tenir compte de toutes les particularités qui caractérisent les membres de l’équipe, sans négliger l’impact de la différence de culture sur le comportement de chacun.
En effet, la diversité au sein d’une équipe composée de plusieurs nationalités crée, forcément, un choc culturel, même si tous les collaborateurs viennent de pays appartenant au même continent ou à la même zone.
A titre d’exemple, les Européens du nord n’ont pas la même civilisation, ni la même culture que les autres Européens du sud et cette différence de comportements et de mentalité engendrera, inéluctablement, des divergences, que le manger multiculturel doit savoir contenir, voire dépasser, pour faire progresser son équipe et l’aider à atteindre les objectifs fixés.
Bien entendu, plus les pays d’origine des employés sont éloignés, plus les différences s’accentuent mais elles ne sont pas, pour autant, insurmontables.
Outre les qualités personnelles et le savoir-faire que le manager multiculturel doit posséder, il existe des formations spécialisées qui permettent à ces managers de développer leurs compétences et leur aptitude à gérer des équipes aussi hétérogènes et par conséquent, des relations très complexes.
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