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L’un des impacts de la crise, et non des moindres, est l’obligation pour le chef d’entreprise de se séparer d’une partie de son personnel, provisoirement ou définitivement.
A ce niveau, le plus compliqué pour le dirigeant se résume par l’équation suivante : comment réduire l’effectif sans se défaire des compétences qui ont fait le succès de l’entreprise et qui aideront à son développement, après la crise ?
En effet, le plus grand danger, pour l’entreprise qui traverse une crise passagère, serait de perdre son capital humain, aussi important que les moyens financiers pour assurer la survie de cette entité économique.
Comme la baisse d’activité de l’entreprise entraîne une réduction de main d’œuvre, il est tout à fait possible de recourir à des méthodes de gestion du personnel sans licencier :
Revoir l’organisation du temps du travail, en modifiant les horaires de manière à passer au régime inférieur (celui des 35 heures au lieu de 40, par exemple), en respectant les obligations légales en la matière.
Adopter la technique du chômage partiel, qui permet à l’entreprise en crise de verser des allocations aux salariés, concernés par cette mesure, à hauteur de 75% de leur salaire initial.
Recourir au prêt de main-d’œuvre, en « prêtant » un employé à une autre entreprise pour une durée déterminée. Cela n’affectera pas son contrat de travail dans la mesure où il réintégrera son entreprise d’origine à la fin de la période de « prêt ».
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