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Parts sociales : Un problème de liquidité
C’est incontestablement le principal inconvénient de la SCI : les parts sociales de la société sont très difficiles à négocier et n’obtiennent, de la part des professionnels, qu’une décote variant généralement entre 10 et 20%.
Par conséquent, la possibilité pour des associés, dans le cadre d’une SCI, d’obtenir, individuellement, un emprunt d’ores et déjà accordé par une banque devient très difficile. Plus difficile, en tout cas, que si le bien concerné avait été acquis dans le cadre d’une indivision (à titre de comparaison), puisque un associé de SCI ne sera en mesure d’offrir (en garantie) que les parts qu’il possède (et non l’immeuble en entier).
De ce fait, une banque hésitera à verser un emprunt à une structure qui ne lui accorde, en guise de garantie, que la possibilité d’un nantissement de parts sociales, en lieu et place de l’hypothèque, plutôt rassurante, sur un bien immobilier.
SCI et indivision : Lequel choisir ?
Entre indivision et création de SCI, la première option engendre nettement moins de charges.
Coût le plus conséquent ? Celui des droits d’enregistrement à verser obligatoirement au moment d’une cession de parts sociales (jusqu’à 4,80% peu importe l’acquéreur, par rapport à uniquement 1% au moment d’une cession entre indivisaires).
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