Tout épargnant doit faire un tri des offres de placement dans les SICAV, proposées par les établissements financiers. La comparaison entre ces différentes offres peut être réalisée avec l’aide des gestionnaires de ses établissements ou à travers différentes sources d’information (internet, presse financières, prospectus des produits…).
Chaque investisseur doit dans ce cadre définir le type de SICAV, parmi la multitude de produits proposés, qui répond le mieux à ses objectifs et à ses besoins.
Le choix effectué par un épargnant pour investir dans une catégorie de SICAV particulière est notamment guidé par diffèrent critères :
La durée d’investissement : l’épargnant doit choisir le type des SICAV en fonction de la durée sur laquelle il veut investir (court terme, moyen terme ou long terme). Dans ce cadre, les SICAV monétaires classiques se distinguent comme des placements sur une durée maximale de 3 mois. Les SICAV monétaires dynamiques et les SICAV obligataires, quant à elles, sont des investissements à moyen terme.
Le but recherché : l’investisseur peut rechercher soit des revenus complémentaires, soit la valorisation de ses fonds.
Avantages fiscaux : L’investisseur choisit la catégorie de SICAV qui lui permet de bénéficier des avantages fiscaux.
Le degré de risque que l’investisseur est prêt à encourir : Selon ce critère, trois sortes de profils d’investisseurs sont définis :
Profil dynamique : l’épargnant ayant ce profil choisira de souscrire à un portefeuille d’investissement composé essentiellement d’actions, à risque et à rentabilité élevés.
Profil équilibré : Pour un investisseur à profil équilibré, le meilleur placement serait un portefeuille diversifié : des actifs à faible risque qui vont stabiliser le placement et des actifs à risque élevé plus rentables.
Profil prudent : Pour ce type d’investisseur, le placement le plus adapté est un portefeuille composé de valeurs mobilières peu risquées et faiblement rentables.
Rentabilité des SICAV : La rentabilité du placement est basée sur le type de valeurs mobilières intégrant le portefeuille d’investissement de l’épargnant (actions ou obligations).
Savoir-faire des gestionnaires : Les intermédiaires financiers doivent faire un diagnostic de la situation financière et du profil des épargnants, de leurs expériences et de leurs besoins et objectifs d’investissement pour leur fournir les meilleurs conseils quant à la gestion de leurs fonds et les orienter vers les placements qui leur conviennent.
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