La reconnaissance du « knowledge » comme un véritable capital immatériel à forte valeur ajoutée dans l’entreprise, a contraint les chefs d’entreprises à changer leurs méthodes managériales. C’est alors qu’est né, dès la fin des années 80, le « knowledge management ».
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Il est possible de définir la connaissance comme un ensemble de notions et de principes qu’une personne acquiert par l’étude, l’observation ou l’expérience tout au cours de sa vie. Le principal défi du « knowledge management » consiste à traiter, organiser, partager, analyser, et mémoriser ce capital au sein de l’entreprise. Mais alors, comment « stocker » de la connaissance ?
En informatique, les systèmes à base de connaissance (SBC), qui regroupent des méthodes et techniques permettant de manipuler des connaissances sur ordinateur, essaient de résoudre ce problème.
Les SBC sont des logiciels qui permettent de modéliser des connaissances et des règles de raisonnement (calculs, logique, cause, effet, etc..) ?
Voici quelques caractéristiques des SBC :
Le knowledge engineering représente l’ensemble de méthodes et techniques permettant de manipuler des connaissances sur ordinateur.
Il sert à :
Pour se faire, Le knowledge engineering s’appuie sur les systèmes à base de connaissances (SBC) qui sont des logiciels qui permettent de modéliser des connaissances et des règles de raisonnement.
Buts des SBC :
Caractéristiques des SBC :
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