Conseil en entreprise, PME & TPE : business plan, trésorerie, rentabilité, développement & gestion d’entreprise
Une des premières nécessités pour le lancement de tout projet d’entreprise demeure les moyens et solutions de financement qu’il faut trouver. Le jeune entrepreneur désirant lancer sa micro entreprise se voit ainsi dans l’obligation de se renseigner sur les alternatives possibles et de faire le choix qui lui corresponde le plus. Pour le cas des TPE, quelles sont donc les solutions proposées par les organismes de financement et quelles sont leurs caractéristiques ?
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L’Adie est une association reconnue d’utilité publique et représente un acteur prédominant dans le monde des crédits à destination des entreprises en tous genres. Les entrepreneurs et créateurs d’entreprise s’orientent fréquemment vers cet organisme pour un meilleur accès au crédit en cas de difficulté d’obtention selon le processus classique.
Après étude détaillée de votre dossier, l’Adie peut vous prêter des fonds ou vous aider à décrocher un prêt bancaire. En plus de l’aide financière et de la garantie du prêt, cette association offre un suivi du créateur ou créatrice de projet. L’Adie travaille en collaboration avec des institutions partenaires comme le ministère du travail ou les collectivités locales. L’Adie coopère également avec des partenaires privés et collecte même des dons privés.
En cas d’absence de garanties matérielles nécessaires à l’obtention d’un crédit, les créateurs se retournent vers les prêts d’honneur. Les jeunes créateurs manquant d’apports personnels se voient ainsi proposer des prêts à taux nul ou bonifié. Les structures contribuant au financement d’entreprises à haut potentiel de développement proposent également des formules de suivi des entrepreneurs. Les prêts accordés constituent un fond de départ favorisant l’accès à des crédits conventionnels. Les prêts d’honneur sont octroyés après étude poussée du dossier et à condition que le capital de l’entreprise ne soit pas détenu à plus de moitié par des entreprises existantes.
Les besoins de micro-financement sont tels qu’on assiste à l’émergence et au développement des banques solidaires. Ces sociétés financières collectent des épargnes auprès des personnes physiques et morales désirant investir utilement. Le but ultime des banques solidaires et de promouvoir les valeurs de la création d’entreprise. Ce qui prime pour le choix des dossiers des entreprises à assister ce sont les opportunités de créations d’emplois pérennes par ces dernières. Tous les projets de création d’entreprises de moins de 3 ans peuvent recourir aux banques solidaires.
Dans les entreprises en création, le capital risque est un investissement temporaire et minoritaire en fonds propres. Hormis les sociétés de capital-risque traditionnelles n’intervenant que sur des montants conséquents, il existe des sociétés de capital-risque de moins grande envergure et appelées « de proximité ».
Ces dernières privilégient des mises de fonds moins importantes et géographiquement proches. Leur intervention est temporaire (5 à 7 ans) et concerne des montants inférieurs à un certain seuil et ce auprès de sociétés non cotées en bourse. Elles proposent également des avances sur comptes courants d’associés ou d’actionnaires par l’octroi de prêts participatifs ou de souscriptions d’obligation.
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