Un consultant, qu’il soit spécialisé dans les ressources humaines, la gestion financière, la gestion de production ou la qualité, coûte cher. Pour autant, ce sont surtout les petites entreprises, qui n’ont pas les moyens d’en embaucher un en temps complet, qui ont besoin de leurs services pour améliorer leur rentabilité… et donc leur compétitivité. L’embauche d’un consultant en temps partagé se présente alors comme la solution la plus adaptée. Explications.
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Est-ce parce que l’on ne compte qu’une petite vingtaine de salariés que l’on n’a pas besoin d’un DRH, d’un directeur administratif et financier ? Non, bien au contraire. C’est en effet bien souvent dans les petites entreprises qu’il y a le plus de travail d’optimisation à confier à un consultant. Malheureusement, ce sont aussi ces petites entreprises qui n’ont pas les moyens d’embaucher un cadre en temps plein (et n’en ont d’ailleurs souvent pas besoin)
La solution est donc d’employer un consultant en temps partagé : l’entreprise ne fait appel au cadre en question que pour quelques heures par mois ou par semaine, selon l’organisation choisie. De cette manière, elle dépense moins tout en bénéficiant de services adaptés.
Le principe étant de n’embaucher le cadre qu’en temps partiel, l’entreprise rémunère ainsi décemment le salarié, tout en faisant des économies. Cela permet de rester attractif (pour recruter des compétences), tout en optimisant le coût et l’efficacité.
Par exemple : un DRH, qui coûterait à l’entreprise 6 621€ environ par mois s’il était embauché à temps plein, ne coûterait que 2 648€ par mois pour 14 heures par semaine. Cela représente une économie supposée de 3973€ par mois ! Dans la même logique et pour le même nombre d’heures, un directeur administratif et financier ne coûterait que 2 832€ au lieu de plus de 7 000€ ! Ce coût ajusté permet à des TPE et des petites PME, qui n’ont pas besoin d’un DRH 35 heures par semaine, de bénéficier d’une gestion efficace des ressources humaines, sans plomber l’activité.
Le principal frein à l’embauche de cadres en temps partagé est généralement un frein psychologique : les entrepreneurs ont peur de la fuite d’information. Et c’est tout à fait légitime. Même si, aujourd’hui, il est important au contraire d’établir avec ses salariés une relation basée sur la confiance, la meilleure chose à faire quand on réfléchit à l’embauche d’un cadre en temps partagé est de veiller à ce que ce cadre ne travaille pas… dans une entreprise concurrente. Car, si loyal et rigoureux que soit le salarié, ce genre de situation est risquée : personne n’est à l’abri d’une erreur. Le contrat de travail peut donc prévoir une clause empêchant le cadre de travailler, pendant la durée du CDI en temps partiel, dans une entreprise concurrente.
Par ailleurs, les entreprises qui envisagent d’embaucher en temps partagé un consultant doivent précisément ajuster le temps de travail de manière à obtenir le meilleur « retour sur investissement » possible. Toute heure rémunérée mais non nécessaire représentera un coût inutile pour l’entreprise. Pour optimiser cela, il peut être extrêmement intéressant de faire appel à une entreprise de travail en temps partagé : en fonction des besoins de l’entreprise, elles sont en mesure de fournir un conseil avisé quant au temps de travail nécessaire. N’oubliez pas : l’idée du temps partagé reste l’optimisation du coût !
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